Es darf keine Index-Tripartite werden!

Im Rahmen der politischen und sozialen Rentrée hat der OGBL die Regierungsparteien und die zwei größten Oppositionsparteien um einen Meinungsaustausch gebeten. In diesem Zusammenhang fand vor kurzem ein Gespräch zwischen einer OGBL-Delegation, angeführt von Jean-Claude Reding, und dem LSAP-Präsidenten Alex Bodry, dem Fraktionsvorsitzenden Lucien Lux und der Abgeordneten Claudia Dall’Agnol in der LSAP-Fraktion statt.

Jean-Claude Reding präsentierte eingangs die Hauptpunkte der OGBL-internen Analyse über die wirtschaftliche und soziale Lage in Europa und Luxemburg. Er stellte die Situation in den Betrieben, wie sie von den OGBL-Delegierten und Verantwortlichen der OGBL-Berufssyndikate erlebt wird, differenziert und Sektor bezogen dar. „Obwohl im weitgehend vom Export abhängigen Industriebereich und im Bankenbereich die Situation eher stagniert als sich weiterentwickelt, geht es in den anderen Wirtschaftszweigen gut bis sehr gut“, so Reding. Von dieser Analyse und den bekannten Wirtschaftsdaten ausgehend, kommt der OGBL-Präsident zur Schlussfolgerung, dass es der luxemburgischen Wirtschaft insgesamt gut geht, viel besser als in den meisten anderen Ländern der Eurozone.

Was die Staatsfinanzen anbelangt muss auch eine wesentlich schnellere Erholung von den Krisenjahren 2008 und 2009 festgestellt werden. Auf die im letzten Jahr von der Regierung nach Brüssel gesandten Prognosen der öffentlichen Finanzen bis 2014 habe der Staat bereits heute einen Vorsprung von 2 Jahren, wurde von LSAP-Seite bestätigt.

Ein Teil der Inflation ist hausgemacht

Auch die Inflationsentwicklung in Luxemburg ist für den OGBL nicht besorgniserregend. Eine Menge Inflation sei hausgemacht, beispielsweise durch die Erhöhung der Wasserpreise, die Erhöhung der Eigenbeteiligung bei den Gesundheitsleistungen sowie die drastisch erhöhten Fahrschultarife. Der OGBL sieht sich heute in seiner Meinung bestätigt, dass die Krisenmaßnahmen, die am 1. Januar 2011 in Kraft traten, überflüssig waren und mit fragwürdigem Zahlenmaterial begründet wurden. Deshalb fordert der OGBL neben der Abschaffung der Krisensteuer auch die Anpassung verschiedener Sozialleistungen, wie z.B. der Familienzulagen, und Steuerkredite an die Preisentwicklung, die Rücknahme gezielter Eigenbeteiligungen im Gesundheitswesen sowie die Verbesserung der Leistungen in bestimmten Gesundheitsbereichen. Der OGBL fordert auch die Beseitigung zum 1. Januar 2012 des Krankenkassentarifunterschieds zwischen Ex-Arbeitern und Ex-Privatangestellten.

Abschließend drückte Jean-Claude Reding im Namen des OGBL den Wunsch aus, dass sich die bevorstehenden Tripartite-Gespräche nicht erneut auf die Indexfrage fokussieren, weil die Gespräche dann schnell beendet sein könnten. Es gäbe absolut keine wirtschaftliche Notwendigkeit strukturelle Veränderungen am Indexsystem vorzunehmen. Es gäbe allerdings viele andere Baustellen, denen sich die Dreierrunde widmen könnte.

Sowohl LSAP-Fraktionspräsident Lucien Lux als auch Parteipräsident Alex Bodry teilten die OGBL-Analyse was die Situation der luxemburgischen Wirtschaft anbelangt. Angesichts der unsicheren Lage auf den Finanzmärkten und den Gefahren für die Realwirtschaft die diese Unruhen in sich bergen sei eine vorsichtige Ausgabenpolitik bei der Öffentlichen Hand weiterhin notwendig. Allerdings sollten unnötige Maßnahmen, die die Kaufkraft der schaffenden Bevölkerung beeinträchtigt, überdacht beziehungsweise rückgängig gemacht werden. Die LSAP wünsche sich auch nicht, dass die Tripartite zu einer Index-Tripartite werde, so Lux.

In der Indexfrage sei auch die LSAP gegen strukturelle Reformen, die das System dauerhaft abändern würden. Ideen wie z.B. ein gedeckelter Index kämen für die LSAP überhaupt nicht in Frage. Sollte sich allerdings die wirtschaftliche Lage dramatisch verschlechtern, beziehungsweise die Inflationsentwicklung dazu führen, dass mehrere Indextranchen in einem Jahr erfallen würden, dann müssten die Sozialpartner zusammentreten und nach wettbewerbsverträglichen Lösungen suchen. Dies sei allerdings zum gegenwärtigen Zeitpunkt nicht der Fall.

Beide Seiten äußerten den Wunsch sich nach der Dreierrunde zu konzertieren.

Mitgeteilt von OGBL und LSAP
am 16. September 2011

L’OGBL demande une évaluation du coût de la rentrée scolaire

Suite à la récente réunion de son Comité exécutif, l’OGBL demande au gouvernement d’entamer une évaluation du coût de la rentrée scolaire. En effet, en 2006 le gouvernement a désindexé les allocations familiales, dont l’allocation de rentrée scolaire. Avec un taux d’inflation annuel moyen de 2.5%, ces allocations ont donc diminué en valeur de l’ordre de 12,5%. Or, il est peu probable que le coût des vêtements, livres, cahiers, classeurs, stylos, etc. aient baissé depuis 2006. L’OGBL est d’avis qu’il faudrait adapter l’allocation en conséquence.
L’OGBL rappelle dans ce contexte, que dans le cadre de la désindexation des allocations familiales des compensations ont été introduites en 2009 sous forme de chèques services. Ces chèques sont limités aux enfants âgés de moins de 13 ans qui résident sur le territoire du Grand-Duché de Luxembourg. Les lycéens résidents et les enfants des frontaliers sont exclus de cette mesure. L’OGBL demande donc également au gouvernement d’enfin supprimer cette double discrimination et de prévoir les compensations qui s’imposent.

Communiqué par l’OGBL
le 15 septembre 2011

Echange de vues entre l’OGBL et le DP

L’OGBL avait demandé une entrevue avec le parti démocratique DP pour un échange de vues sur l’actualité politique, économique et sociale. Cette réunion a eu lieu le 14 septembre dans les locaux de la fraction parlementaire du DP. La délégation du DP était conduite par Xavier Bettel, président du groupe politique DP à la Chambre des Députés et celle de l’OGBL par Jean-Claude Reding, président du syndicat.

Les thèmes abordés concernaient d’une part les sujets d’actualité au niveau européen et d’autre part la situation économique et sociale au Luxembourg, ceci en particulier en vue de la prochaine réunion du Comité de coordination tripartite. Les sujets comprenaient notamment la situation dans les différents secteurs économiques, les questions fiscales, les finances publiques, la politique anticrise, la sécurité sociale, le chômage des salariés plus âgés et des jeunes ainsi que les questions de formation initiale et continue.

Sur un grand nombre de sujets il y avait convergence de vues, notamment en ce qui concerne l’inefficacité de la politique anticrise menée par l’Union européenne d’une part et celle menée par le gouvernement luxembourgeois de l’autre. Les deux côtés sont d’avis que les mesures mises en place par le gouvernement depuis le 1er janvier 2011, comme l’impôt de crise, étaient inadaptées et que l’approche choisie ne tenait pas compte des situations sociales diverses des citoyens.

Les deux côtés regrettent que depuis 2006 le gouvernement ait mis en place une multitude de mesures dans différents domaines sans jamais faire des analyses en aval relatives à leur efficacité sociale ou économique. Ils déplorent par ailleurs l’opacité du budget de l’Etat.

Si les interlocuteurs partagent le point de vue que la situation de l’économie luxembourgeoise est généralement bonne et que l’état des finances publiques s’est amélioré plus rapidement qu’initialement supposé par le gouvernement, il y a lieu de préconiser une approche prudente en ce qui concerne de nouvelles dépenses publiques. En revanche, les mesures du paquet anticrise doivent être abandonnées et des approches visant à réduire le train de vie de l’Etat doivent être mises en œuvre

En ce qui concerne la prochaine Tripartite et en particulier le point relatif à l’indexation des salaires et pensions, les points de vues divergent légèrement, mais ne sont pas totalement opposés. Aucun des deux partis ne pourrait accepter  l’abandon de ce système garant de la paix sociale et du maintien du pouvoir d’achat des citoyens.

Les deux organisations se concerteront à nouveau plus en détail après les réunions tripartites.

Communiqué par l’OGBL et le DP
le 15 septembre 2011

Il faut une politique sociale et économique européenne pour dépasser la crise

Le 13 septembre, une délégation du parti déi dréng composée de François Bausch, président du groupe parlementaire, Josée Lorsché, Claude Adam et Felix Braz, députés luxembourgeois a reçu l’OGBL représenté par son président Jean-Claude Reding, son secrétaire général André Roeltgen et Mil Lorang.

Cette entrevue a eu lieu à la demande de l’OGBL dans le but d’un échange de vues sur la crise européenne des dettes souveraines et le manque de gouvernance économique et financière européenne ainsi que la réunion de la Tripartite luxembourgeoise prévue pour le 29 septembre 2011. Lors de cette rencontre fructueuse, les deux délégations ont discuté des points suivants :

  • les risques socio-économiques liés en Europe à la gestion erratique de la crise financière ;
  • la responsabilité de la dérégulation des marchés financiers dans la crise actuelle ;
  • les politiques d’austérité fiscale et budgétaire qui ne permettent pas de sortir de la crise et qui détruisent la cohésion sociale en Europe ;
  • la nécessité de réaliser plus de justice sociale à travers une révision fondamentale des politiques fiscales permettant une redistribution en faveur des populations défavorisées ;
  • la santé relativement bonne de l’économie luxembourgeoise ;
  • les réticences évidentes et bien fondées qu’il y a d’apporter dans ce contexte des modulations supplémentaires au système de l’indexation des salaires et pensions;
  • le besoin de soumettre la politique des allocations familiales et des crédits d’impôts menée les dernières années à un examen critique ;
  • la nécessité de mener une politique industrielle progressive, tenant compte des défis écologiques liés aux systèmes énergétiques actuellement trop axés sur le pétrole ;
  • l’importance de soumettre le financement de l’assurance dépendance et les services pris en charge à une analyse critique en vue d’une stabilisation des contributions et d’une amélioration des services rendus;
  • la nécessité de mener des négociations transparentes et participatives au niveau de la Tripartite.

Les deux délégations ont exprimé leur large convergence de vues sur de nombreux dossiers.

Il a été convenu de poursuivre les échanges réguliers, notamment pendant les négociations de la tripartite.

Communiqué par déi gréng et l’OGBL
le 15 septembre 2011

Il faut en finir avec la politique d’austérité!

André Roeltgen, secrétaire général de l’OGBL
André Roeltgen, secrétaire général de l’OGBL

La politique actuelle de la Commission européenne et du Conseil européen ne rompt aucunement avec la politique économique et financière néolibérale qui a déclenché tant la crise financière et économique que celle des budgets publics en Europe. Celui qui cherche dans cette politique l’«Europe sociale» ne la trouvera pas.  Car le «leitmotiv» est un tout autre: dumping salarial et social dans tous les pays européens!

L’opposition syndicale contre cette politique sur le dos des salariés se renforce. Les 15 à 20 000 syndicalistes venus de nombreux pays européens l‘ont souligné de façon impressionnante lors de la manifestation de la Confédération européenne des syndicats le 21 juin à Luxembourg.

La politique d’austérité propagée par Bruxelles nuit à la relance économique conjoncturelle. Une nouvelle récession économique ne peut donc plus être exclue.

Du point de vue social, cette politique est scandaleuse. Une politique capitaliste de répartition de  bas en haut: actionnaires, manager et les gros salaires sont épargnés et récompensés tandis que les revenus et les acquis sociaux des classes inférieures et moyennes sont attaqués et réduits. Les cisailles de distribution inéquitable sont censées prendre encore plus d’ampleur.

Voilà pourquoi l’OGBL rejette catégoriquement les «recommandations» politiques que Bruxelles a adressées en juin au gouvernement luxembourgeois. Toutes vont dans le sens d’une détérioration de nos acquis sociaux. Bruxelles attaque l’index et les pensions. Bruxelles exige une politique d’austérité rigoureuse en ce qui concerne notre budget d’Etat. Bruxelles veut plus d’impôts injustes.

L’OGBL lance un appel au gouvernement de rejeter par retour du courrier ces recommandations dirigées contre les salariés et de stopper immédiatement la politique d’austérité superflue.

Compte tenu d’une croissance économique réelle entre 3 et 4% (2011-2014), d’une inflation qui retomberait de 3,5% en 2011 à 2,3% en 2012 et même à 1,8% en 2013 et 2014 et vu que les finances publiques augmenteraient pour les années 2010 et 2011 carrément de quelque 2,5 milliards € supplémentaires non prévus dans les estimations d’il y a un an,  la continuation des mesures d’austérité devient infondée. Les scénarios présentés lors de la tripartite de 2010 s’avèrent faux dans leur ensemble.

Même si l’opposition syndicale de l’OGBL et de tout le mouvement syndical luxembourgeois a pu éviter certaines mesures, fait est que la répartition totalement inéquitable des charges de la crise est maintenue.

Les patrons n’ont pas été priés de passer à la caisse. Bien au contraire. Le gouvernement leur a fait cadeau entre autres de «compensations» superflues lors de l’adaptation du salaire social minimum et l’augmentation des cotisations de la caisse de santé.

Les salariés, leurs familles ainsi que les pensionnés ont maintenant assez payé pour ce genre de redressement de la crise.

L’OGBL revendique entre autres l’annulation de l’impôt de crise pour 2012, le retrait des dégradations des prestations de la caisse nationale de santé, la suppression de la discrimination concernant les bourses d’études pour les enfants des collègues frontaliers.

Ne touchez pas à notre index!

Après la perte de 1% du pouvoir d’achat suite au retardement de la tranche indiciaire qui sera payée seulement en octobre au lieu de mai, l’OGBL n’est pas prêt à accepter une perte supplémentaire du pouvoir d’achat pour 2012. Le paiement de la tranche indiciaire venant probablement à échéance dans les premiers mois de 2012 doit s’effectuer dans les délais et doit être calculée sur le panier de la ménagère tel qu’il est aujourd’hui constitué!

Pour une réforme du régime de pension socialement progressiste.

En ce qui concerne la réforme du régime de pension, l’OGBL a introduit avec la CGFP et le LCGB une position commune des syndicats en réaction aux premières propositions gouvernementales.

L’intention du gouvernement de diminuer à l’avenir le niveau des pensions lorsqu’on a atteint l’âge normal de la retraite, est la mauvaise voie.

Ce dont nous avons besoin dans le domaine de l’assurance pension est une politique offensive comprenant des initiatives législatives qui nous permettent de pouvoir travailler plus longtemps et dans de meilleures conditions et de rester plus longtemps dans nos professions. Tout en ayant des perspectives sociales et professionnelles intactes jusqu’à l’âge légal de la retraite! Et pas plus longtemps!

L’argument du gouvernement que nous devrions travailler au delà de l’âge légal de la retraite puisque du point de vue statistique l’espérance de vie continuerait d’augmenter, ne tient tout simplement pas compte de la réalité sociale.

Aujourd’hui déjà, des dizaines de milliers de salariés n’ont plus la chance d’atteindre l’âge légal de  la retraite actuel. Bien avant, ils sont obligés de quitter le monde du travail contre leur gré. Combien de salariés connaîtraient le même sort en cas d‘un allongement de la vie active?

Des problèmes de santé, des plans sociaux ou des employeurs qui se «défont» tout simplement des salariés plus âgés leur enlèvent la possibilité de partir normalement à la retraite. Et c’est exactement par là qu’il faut attaquer politiquement dans la dite «problématique des pensions».

Une meilleure protection contre les licenciements, des horaires et organisations de travail adaptés aux salariés plus âgés, une meilleure prévention des maladies dues au travail, le maintien des qualifications professionnelles par le biais d’une formation continue ciblée et adaptée, le droit au travail à temps partiel pour raisons d’âge avec garantie d’une cotisation pension vieillesse compensatoire, l’introduction d’une mesure permettant de combiner un emploi à temps partiel avec une retraite partielle seraient à titre d’exemples de bonnes mesures pour arriver à une meilleure qualité de vie professionnelle et à une meilleure qualité de vie en général.

De telles mesures permettraient d’augmenter le taux d’emploi, de diminuer le taux de chômage et la pauvreté de vieillesse. Et elles contribueraient à la viabilité financière à long terme de notre système public d’assurance pension.

L’OGBL demande au gouvernement de considérer les propositions syndicales comme principales «vis de réglage» dans la réforme du régime de pension. Commencer par le bon bout dans ce domaine signifie jeter les bases législatives pour une politique du personnel respectueuse de l’âge des travailleurs dans les entreprises luxembourgeoises.

D’autres «vis de réglage» peuvent attendre.

 

Référendum en Italie: Quatre oui pour dire non!

Contre la privatisation de l’eau, contre la construction de nouvelles centrales nucléaires

Les 12 et 13 juin prochains le peuple italien sera appelé à voter dans un référendum national et devra s’exprimer sur quatre questions très importantes. Les deux premières concernent la privatisation de l’eau et les tarifs applicables sur la base du capital investi par les privés, la 3e concerne la construction de nouvelles centrales nucléaires et avec la 4e, enfin, il s’agit de dire si oui ou non on est d’accord que le président du conseil des ministres et les ministres continuent de jouir de l’impunité juridique justement parce qu’ils occupent ces fonctions.

Le référendum sera validé seulement si le quorum nécessaire de 50 % plus 1 du nombre des électeurs est atteint. Le gouvernement italien est bien sûr opposé à ce référendum et il se n’est certainement pas empressé de faire de la publicité, ni en Italie, ni parmi les plus de 3 millions d’Italiens vivant dans le monde et qui peuvent voter par correspondance.

L’OGBL appelle les immigrés italiens à voter OUI!

Les Italiens vivant au Luxembourg qui ont 18 ans accomplis et qui sont inscrits à l’AIRE (une sorte de liste électorale) ont reçu ces derniers jours les bulletins de vote qu’il faudra renvoyer à la chancellerie consulaire une fois remplis. Attention: les bulletins de vote doivent arriver impérativement avant 16.00 heures le 9 juin prochain.

L’OGBL et son Département des Immigrés demandent aux électeurs italiens résidant au Luxembourg de voter “OUI”: oui, parce que non, on ne veut pas que l’eau, un bien commun de tous, soit privatisée et que certains engendrent d’énormes profits sur la soif des plus pauvres; oui, parce que non, on ne veut pas d’autres centrales nucléaires, il y a déjà eu assez de dégâts comme ça.

Communiqué par le Département des Immigrés de l’OGBL
le 7 juin 2011