Das SEW/OGBL stellt den Lehrkräften kostenloses Unterrichtsmaterial zum Thema Arbeitswelt zur Verfügung

Um an die Bedeutung des 1. Mai und die sozialen Errungenschaften der Gewerkschaften zu erinnern, stellt SEW/OGBL Département Secondaire den Lehrkräften kostenloses Unterrichtsmaterial zum Thema Arbeitswelt und den Dokumentarfilm „Streik!“ von Andy Bausch sowie didaktisches Material zum Film zur Verfügung.

Das zur Verfügung gestellte Unterrichtsmaterial geht auf die Geschichte der Luxemburger Gewerkschaften ein, liefert Einblicke in die Luxemburger Arbeitswelt, erklärt arbeitsrechtliche Begriffe wie „Kollektivvertrag“ oder „Sozialabgaben“ und gibt Anleitungen für das Verfassen eines Bewerbungsschreibens sowie eines Lebenslaufes.

Unterrichtsmaterialien und Dokumentarfilm wurden per Post an alle Sekundarschulen geschickt und stehen zusätzlich als Download/Stream auf der Internetseite des SEW/OGBL zur Verfügung (www.sew.lu)

Mitgeteilt vom OGBL-Syndikat Erziehung und Wissenschaft (SEW)
am 22. April 2021

Vers un meilleur encadrement des conditions de travail et des perspectives de carrière pour les chercheurs postdoctoraux

FNR

Une délégation de l’OGBL, comprenant notamment des délégués du personnel des trois Centres de recherche publics et de l’Université de Luxembourg, a récemment rencontré des représentants du Fonds National de la Recherche (FNR) dans le cadre d’un échange de vues portant sur le statut des chercheurs postdoctoraux et des mesures à mettre en place afin de lutter contre la précarité liée à leur contrat de travail (généralement à durée déterminée pour une durée maximale de 5 ans) et en vue d’améliorer le développement de leur carrière au Grand-Duché.

En effet, les chercheurs postdoctoraux ne bénéficient actuellement d’aucun encadrement spécifique au sein des établissements publics contrairement aux chercheurs doctorants qui bénéficient du «National Quality Framework» mis en place par le FNR et les institutions de recherche. L’OGBL estime important d’introduire un encadrement spécifique des conditions de travail des chercheurs postdoctoraux. Le FNR a souligné qu’il partage les préoccupations de l’OGBL quant au statut précaire de ses chercheurs et s’est dit prêt à collaborer le cas échéant à des mesures visant l’amélioration de la carrière de cette catégorie de salariés.

L’OGBL a notamment souligné l’importance de garantir la formation des chercheurs postdoctoraux, en proposant la mise en place d’une plateforme de «mentoring» dédiée. Le FNR a accueilli favorablement cette idée tout en manifestant sa volonté de s’adresser aux établissements publics pour les inciter à mettre à disposition des programmes de formation aux chercheurs postdoctoraux que le Fonds subventionne. Afin de favoriser les perspectives de carrière des chercheurs postdoctoraux de manière durable, les deux parties se sont entendues sur le fait qu’un encadrement de «mentoring local» serait à privilégier, permettant à ces chercheurs de développer leur réseau de contacts et de leur apporter des possibilités en vue de poursuivre leur carrière professionnelle au Grand-Duché, que ce soit dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche ou dans d’autres secteurs.

Afin de trouver des solutions adaptées aux problèmes que soulève ce statut, l’OGBL souhaite également identifier le parcours professionnel des chercheurs postdoctoraux qui sont pour la plupart des ressortissants étrangers. Il compte ainsi s’adresser aux établissements afin de rassembler des statistiques permettant de mieux connaître le parcours de ces salariés. Le FNR a exprimé son intérêt quant à la réalisation de telles statistiques, qui donneraient en effet une meilleure vue d’ensemble des parcours professionnels des chercheurs passant par le Luxembourg.

Bien que les chercheurs postdoctoraux soient éligibles aux aides financières du FNR concernant la formation et le «mentoring», souvent ils l’ignorent. Par conséquent, l’OGBL souhaiterait qu’ils soient informés de manière régulière sur les possibilités que leur offre le Fonds. Une idée qui a été accueilli favorablement par les représentants du FNR qui se sont dits disposés à développer une documentation plus explicite sur les critères d’attribution de ces aides.

Enfin, l’OGBL et le FNR ont estimé qu’il serait intéressant de prévoir une réunion avec le ministère et les représentants des directions des établissements publics afin de discuter des actions concrètes conjointes à mettre en place pour garantir un meilleur encadrement des conditions de travail et des perspectives de carrière des chercheurs postdoctoraux.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 9 mars 2021

Maintenir un haut niveau d’investissements dans l’enseignement supérieur et la recherche au Luxembourg

Une délégation du département Enseignement supérieur et Recherche du SEW/OGBL a récemment rencontré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Claude Meisch, afin de procéder à un échange de vues sur les évolutions du secteur et la mise en place des mesures prévues à ce niveau dans l’accord de coalition, ainsi que de la politique d’investissements du gouvernement dans ce domaine.

Concernant le dernier point, l’OGBL a souhaité clarifier la position du gouvernement suite à la pandémie du Covid-19 et aux craintes exprimées par les directions des différents établissements publics de se voir réduire leur dotation, prévoyant ainsi des réserves financières pour palier à d’hypothétiques coupes budgétaires. L’OGBL a rappelé que l’accord de coalition prévoyait une politique d’investissements importante dans l’enseignement supérieur et la recherche. Le ministre a en effet reconnu ces investissements comme étant cruciaux pour l’avenir du secteur, mais a toutefois souligné que les estimations de l’évolution budgétaire sont à présent à reconsidérer dans le nouveau contexte. Tout en appelant à la prudence, il a toutefois souligné que l’investissement dans l’enseignement supérieur et la recherche reste une priorité du gouvernement. L’OGBL a souligné à cet égard l’importance de poursuivre un développement cohérent des investissements publics en ce domaine, malgré la forte mise à contribution des finances publiques en raison de la pandémie.

L’OGBL a également réitéré, qu’à l’instar du Conseil de gouvernance de l’Université où siège avec droit de vote la présidente de la délégation du personnel, il serait grand temps que les Conseils d’administration des Centres de recherche publics s’ouvrent aussi enfin à des représentants du personnel. Le ministre a indiqué que cette piste serait effectivement envisagée lors d’une future modification de la loi sur les Centres de recherche publics.

L’OGBL a par ailleurs souligné que lors d’une future révision du cadre légal de l’Université, il faudrait clarifier la situation des chercheurs sans doctorat («research and development specialists»), qui ne sont plus prévus par la loi de 2018, alors même que ce personnel continue d’exister et que l’Université embauche toujours du personnel avec ce statut,

Face à la volonté annoncée dans le programme du gouvernement de vouloir lutter contre la précarisation du statut de chercheur et de favoriser les perspectives de carrières à long terme dans le secteur, l’OGBL a réitéré sa demande visant à mettre en place des instruments efficaces dans le but d’attirer et de retenir les chercheurs au Grand-Duché. Malgré le fait qu’aucune mesure précise n’ait été mise en place, le ministre a confirmé son implication en la matière tout en rappelant les particularités propres à la carrière des chercheurs.

L’OGBL a également accueilli favorablement les récentes annonces de coopération renforcée entre l’Université et certains Centres de recherche publics. Il a néanmoins soulevé dans ce contexte la question d’un éventuel recours de prêt de main-d’œuvre, voire avec le secteur hospitalier, dans la perspective de l’évolution de la formation médicale au Luxembourg, et il a proposé la mise en place d’une convention sectorielle pour régler ces situations tout en respectant le cadre légal du prêt de main-d’œuvre, à l’instar de la convention existante entre l’Université, le CHL et les syndicats nationalement représentatifs. Le ministre s’est dit ouvert à cette réflexion.

Un dernier point a concerné la potentielle complication de la situation fiscale des salariés de l’enseignement supérieur et de la recherche qui pourrait survenir à la fin des mesures d’exception en lien avec la crise sanitaire, tout en sachant qu’il est plus que probable que le télétravail se généralise et se développe encore davantage après la crise. En effet, les conventions avec la France et l’Allemagne prévoient que tout revenu perçu de la part d’une «personne morale de droit public» est imposable dès le premier jour travaillé dans le pays de résidence du salarié, donc que les seuils de tolérance de 29, respectivement 19 jours ne sont pas applicables aux salariés de droit privé travaillant auprès d’établissements publics.

Ce problème concerne potentiellement tous les salariés d’établissements publics, mais a un impact potentiellement plus grand encore dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, sachant que non seulement des périodes de télétravail, mais aussi le temps passé à des colloques et conférences à l’étranger pourraient avoir des conséquences négatives sur le plan fiscal pour les salariés résidant en France et en Allemagne. L’OGBL espère donc que le gouvernement révise ce point lors d’une future renégociation des conventions fiscales bilatérales. Le ministre a indiqué que son ministère se concertera à ce propos avec le ministère des Finances.  Il a cependant souligné que toute solution dépendrait aussi de la volonté des gouvernements des pays voisins de modifier les textes en vigueur.

Le ministre a indiqué dans ce contexte qu’il est disposé à consulter l’OGBL, désormais seul syndicat présent dans le secteur, en amont de modifications du cadre législatif encadrant l’enseignement supérieur et la recherche ainsi que dans le contexte de l’élaboration de la stratégie nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, ce qui a été accueilli favorablement par la délégation syndicale.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 1er mars 2021.

Le combat continue !

Lors de la conférence de presse de ce jour, la CGFP et le ministre Meisch ont annoncé que le litige concernant les projets de loi 7658 et 7662 sur la privatisation de certains postes de fonctionnaires dans les directions de lycées et administrations a été résolu.

Même si le SEW/OGBL et l’APESS se réjouissent des résolutions de cet accord, ils continueront à maintenir la pression sur le ministre Meisch. Car les tendances à la privatisation sournoise de l’enseignement public luxembourgeois ne s’arrêtent pas avec l’annulation, respectivement l’amendement des projets de loi en question. Par conséquent, un syndicat qui prend au sérieux cette question ne peut se concentrer sur la seule course aux postes de direction. Les tendances mentionnées ci-dessus vont, en effet, beaucoup plus loin que la seule privatisation de certains postes de fonctionnaires. Nous continuerons à mener notre campagne dans les semaines et mois à suivre en mettant en avant, entre autres, les sujets suivants :

  • Méthodes du New Public Management dans l’enseignement public
  • Mise en concurrence des lycées
  • Public private partnership et outsourcing de certaines activités scolaires à de grandes multinationales du secteur éducatif (Pearson, Cambridge Assessment, …)
  • Ecole-usine considérant le jeune comme une ressource humaine qui doit être rendue profitable au détriment de son éducation comme personne responsable dotée d’un esprit critique
  • Microsoft et Apple dans une école-marché avec une jeunesse considérée comme simple clientèle potentielle future
  • Politique de recrutement catastrophique
  • Entretiens d’évaluation et abolition des comités des professeurs
  • Discrimination des enseignants par rapport aux autres fonctionnaires et employés de l’Etat.

Le combat pour un enseignement public de qualité, qui propose une scolarité de qualité à toute la jeunesse de notre pays, reste notre première priorité. La privatisation de l’enseignement public ne se limite pas qu’aux carrières des hauts fonctionnaires mais à l’avenir de notre jeunesse et de nos générations futures. Le SEW/OGBL et l’APESS le savent et agiront en conséquence.

Net esou Här Meisch !

Den SEW/OGBL an de Landesverband hunn ënnerstëtzt, dass an de Schoulen esouvill Normalitéit wéi méiglech misst sinn, awer ënnert Berécksiichtegung vun der Entwécklung vun den Infektiounszuelen a neien Erkenntnisser vu richtege (Fach-) Wëssenschaftler.

Obwuel mat enger 2. Well huet misse gerechent ginn an d’Infektiounszuelen och an de Schoulen eropgaange sinn, ass e ganzt Trimester laang näischt aus dem Ministère komm. De Minister huet sech eenzeg an eleng drop beschränkt fir seng schéigerechent Infektiounszuelen ze verdeedegen a gehofft, dass et schonn iergendwéi vum selwe géing weidergoen.

Alt erëm muss festgestallt ginn, dass kee Konzept a keng Alternativ am Ministère fir déi aktuell Situatioun präparéiert gouf, dëse schéngt ëmmer erëm vun der Situatioun iwwerrascht ze ginn. An elo, grad mol een Dag virum Enn vun engem schwieregen Trimester, wou vill Schüler an Enseignanten um Enn vun hirer Kraaft sinn, dierfen d’Léierpersounen aus der Press gewuer ginn, dass si sech an der Vakanz op e Neits méiglecherweis op digitalen Unterrecht sollen astellen.

Ouni kloer Konzept vum Educatiounsministère sollen d’Enseignanten also an der Vakanz béid Saache präparéieren, woubäi se vermuttlech kuerz virun der Reprise ërem iwwer d’Medie wäerten informéiert ginn, wat dann elo zeréckbehale gouf, a wat fir d’Kaz ass.

D’Respektlosegkeet virun der Aarbecht an dem Asaz vun den Enseignantë kéint net méi grouss sinn.

Wou sinn déi vill „Experten“, déi de Minister an deene leschte Joren aus der Schoul erausgeholl huet? Firwat ass do net scho längst eng digital Offer präparéiert ginn?

Hat de Minister an dësem schwieregen éischten Trimester tatsächlech keng aner Prioritéit wéi de „Coding“ ze lancéieren?

Soll d’Erstelle vun dem neie Schoulentwécklungsplang (PDS) (deen déi wéinechsten interesséiert an deen eis Schoul net wärt weiderbrengen) dat klangloost Ënnergoe vun de grouss ugekënnegten Appuisstonne kompenséieren?

Et weist sech ëmmer méi, dass de Minister a seng Beroder kee Plang hunn, keng kuerz- oder laangfristeg Strategie entwéckelt hunn, mee just eng Navigatioun à vue op Käschte vun de Schüler, hire Familljen a vun den Enseignanten.

Wéi laang wëll dës Regierungskoalitioun dësem Trauerspill nach nokucken? Wéini gëtt endlech eng kompetent Persoun op dëse wichtege Poste gesat, déi den Dialog mat den Acteuren erëm opbaut, d‘Vertraue vun den Enseignanten an den Elteren a d’Schoulpolitik erëm zréckbréngt an eng effikass an nohalteg Bildungspolitik mécht?

Et ass fënnef op Zwielef !

 

Matgedeelt vum SEW/OGBL
den 18. Dezember 2020

CO/APPCA/ALEE/APPSAS/SLEG/SPEBS: Mecht den Educatiounsminister de Geck mat eis?

Zënter ronn 3 Joer siche mir d’Gespréich mam Educatiounsminister fir iwwert d’Tâchen an d’Aarbechtskonditioune vum d’Personnel EPS an de verschiddene Schoulstrukturen ze diskutéieren. Leider goufe mir ëmmer nees vum Ministère op spéider vertréischt. Den Educatiounsminister huet elo vun der Corona-Pandemie profitéiert, fir am Juli dëst Joer, am Alleingang ouni d’Gewerkschaften an d’Personalrepresentatiounen anzebezéien an ouni Dialog mat de Leit um Terrain, iwwert de Wee vun Notte kloer Verschlechterunge vun der edukativer a psycho-sozialer Aarbecht an de Schoulen ëmzesetzen. Dëst geet op d’Käschte vun der Qualitéit vum Unterrecht a vun der Prise en charge vun de Schüler a Schülerinne mat spezifeschen, psychologeschen oder soziale Besoinen op där enger Säit, an op d’Käschte vun der Gesondheet vum Personal op där anerer Säit.

An deem Kontext fanne mir dem Educatiounsminister seng Äntwert vum 15.12. op d‘Question parlementaire 3303 zimmlech bizarre: Hie géing op eng formell Stellungnam zu enger Publikatioun am Courrier vum MENJE vum 15.9. waarden!? Zum engen ass et op mannst verwonnerlech, datt Gewerkschaften ewell Stellungnamen zu Publikatioune solle virhuelen (sic). Zum anere gëtt seng Äntwert ëmsou méi bizarre, wann ee weess, datt déi 5 Gewerkschaften a Personal-representatiounen an der eenzeger gemeinsamer Reunioun mam Minister de 6. Oktober kloer Positioun zu dësem Thema bezunn hunn. Mir hunn en plus Virschléi presentéiert a schrëftlech hannerluecht, esou wéi een eendeitegen Avis juridique ugeschwat a schrëftlech eragereecht. Bis haut krute mer weeder eng Äntwert op eis Proposen, nach op den Avis juridique! Den Här Minister Meisch spillt weider säi Spill op d’Zäit.

Schonn zënter dem Juli, an och de 6. Oktober erëm, hunn déi 5 Gewerkschaften a Personalrepresentatioune geschlossen an zesumme vum Educatiounsminister gefuerdert, déi besoten Notten zréckzezéien an endlech Verhandlungen zouzeloossen – bis elo allerdéngs leider ëmsoss.

Nom Ofsoe vun den Entrevuë vum Minister am November an Dezember ass de 14. Januar 2021 en nächst Zesummekomme virgesinn. Sollt den Educatiounsminister spéitstens bis dohinner nach ëmmer net alenken, da wäert fir eis de Wee an de Litige onëmgänglech sinn.

Eng Ausnamezäit däerf net dofir ausgenotzt ginn, fir demokratesch Prozesser auszehiewelen an d’Qualitéit vum Enseignement ze verschlechteren!

Dofir organiséieren d‘ALEE/CGFP, d‘APCCA/SEW/OGBL, d‘APPSAS, de SLEG/CGFP an de SPEBS/CGFP e Protestpiquet en Dënschdeg, 9. Februar 2021 um 16 Auer virun der Chamber fir géint déi illegal Virgoensweis vum Educatiounsminister a géint eng Ofwäertung vun der Aarbecht vum edukativen a psycho-soziale Personal aus de Kompentenzzentren, dem Enseignement fondamental an dem Enseignement secondaire virzegoen. Mir hoffen op d’Ënnerstëtzung vum Pouvoir législatif an eiser Cause.

Neen zum Ausverkaf vun onsem Beruff, a Jo fir eng Schoul mat Qualitéit!

Matgedeelt vun ALEE/CGFP, APCCA/SEW/OGBL, APPSAS, SLEG/CGFP a SPEBS/CGFP