les stagiaires de l’enseignement postprimaire

La formation pédagogique des stagiaires de l’enseignement postprimaire n’est vraiment pas gratuite, ni au sens figuré, ni au sens propre !
En effet, les frais d’inscription à cette formation d’accès à la profession, dont l’Université du Luxembourg a été chargée par le MENFP, s’élèvent actuellement à 500 euros. Ainsi l’Etat luxembourgeois oblige ses futurs fonctionnaires à payer pour leur formation initiale obligatoire !

L’Université du Luxembourg en profite doublement: elle se fait d’abord subventionner pour organiser la formation pédagogique des stagiaires de l’enseignement postprimaire et elle empoche ensuite sans broncher les droits d’inscription de ces “étudiants“ obligés. Rien que pour les 250 stagiaires de la promotion 2011, elle totalise 125.000 euros de frais d’inscription. Tout cela sans accorder aux futurs ressortissants du stage pédagogique aucun titre académique, étant donné que pour l’UdL, il ne s’agit que d’un stage professionnel sans aucune valeur en matière d’ECTS.
Quant au ministère de tutelle – le MENFP – il ne semble guère enclin à défendre ses brebis, puisqu’il a donné son aval à cette incongruité.

Face à ce comportement insoutenable de l’Etat luxembourgeois à l’égard de ses futurs fonctionnaires, le SEW demande

  • que les stagiaires soient remboursés des 500 euros de frais d’inscription !
  • que dès la promotion 2012, l’UdL renonce à percevoir ces droits d’entrée, étant donné qu’elle est déjà amplement soutenue par des fonds publics !

Nous invitons tous les stagiaires de l’ES et de l’EST à ne pas se laisser faire et à se syndiquer pour défendre leurs droits !

Communiqué par le SEW-OGBL
Luxembourg, le 27 mai 2011

La position du SEW

Dans l’introduction du document de réflexion autour de l’évaluation aux classes inférieures de l’ES et de l’EST affiché sur le site du MENFP, le contexte est donné : « tous les pays suivent la même voie », ce qui soutient notre thèse que la mise en place de l’enseignement par compétences est avant tout une politique orchestrée par l’OCDE appliquée dans les différents pays de l’UE.
Le SEW n’a pas d’opposition de principe à l’égard de l’enseignement par compétences, qui peut effectivement présenter des avantages, s’il est clairement circonscrit.
Mais il devient de plus en plus apparent pour nous que notre système d’enseignement tout entier tend à y être subjugué d’une manière inacceptable.
Le document de travail sur l’évaluation des apprentissages dans les classes inférieures de l’ES et de l’EST confirme cela :

  • au centre de l’évaluation ne se trouvent plus les connaissances acquises par les élèves, mais des domaines de compétences stéréotypés comme « résoudre des problèmes, argumenter, communiquer, … » ;
  • les différents éléments du programme doivent être intégrés dans ces domaines via des descripteurs ;
  • les devoirs en classe sont décomposés et leurs questions apparaissent dans un tableau de synthèse comme des parties de différents puzzles qui composent les différents domaines de compétences ;
  • ce tableau permettrait de calculer la « note synthèse ».

Le résultat de ces artifices de l’esprit visant à relier les notes des différents devoirs en classe dans une branche aux domaines de compétences de cette branche et à aboutir à une note de synthèse trimestrielle se présente comme un imbroglio tel qu’une truie n’y retrouverait plus ses petits.
En clair, ce cheminement labyrinthique nous apparaît comme l’aboutissement d’un raisonnement de bureaucrate endurci, qui serait absolument inaccessible aux élèves et à leurs parents ( il faut penser notamment au listing des descripteurs qu’on propose d’inscrire sur chaque devoir en classe et à la décomposition des notes des devoirs pour qu’elles réapparaissent dans un tableau de synthèse ) et qui submergerait les enseignants de travaux administratifs totalement disproportionnés par rapport à leur utilité. Cela irait évidemment aux dépens du temps dévoué à l’enseignement et la remédiation.
Au-delà de ces jongleries troublantes, le document de travail contient deux autres suggestions :

  • la première – fondamentale –, qui entend organiser la promotion par domaines de compétences et non plus par disciplines. Dans cette optique, les connaissances acquises dans une branche seraient fondues dans un magma de compétences interbranches et le cheminement décrit ci-dessus serait encore multiplié par 10. Il s’entend que ceci est tout à fait inacceptable pour nous !
  • la deuxième, qui veut déduire le niveau atteint non plus du calcul de la moyenne des notes trimestrielles, mais des travaux de l’élève réalisés en fin d’année scolaire. Cela reviendrait à sous-évaluer les connaissances acquises aux 1er et 2e trimestres et à attribuer plus de poids aux résultats du dernier trimestre, procédure abandonnée il y a quelques années en raison de son caractère déséquilibré et injuste.

En fin de compte, le système proposé constitue un mauvais compromis entre le système traditionnel (opérant avec une note de 60 points) et une évaluation basée sur un socle de compétences. Sans présenter le moindre avantage tangible, il combine les désavantages des deux systèmes d’évaluation–à savoir l’absence de descripteurs perceptibles pour le système actuel et le manque d’une vue globale des connaissances de l’élève pour l’enseignement par compétences.
Remarquons encore que la promotion automatique entre la 7e et la 8e ou entre la 7e et la 6e ne constituent nullement un moyen pour régler les problèmes des élèves, mais ne fait que reporter ceux-ci.
Le SEW demande au MENFP de retirer ce document de travail et de remettre à plat la discussion sur l’impact des compétences dans l’évaluation de l’enseignement luxembourgeois.

Communiqué par le SEW-OGBL
le 23 mai 2011

Non au stage pédagogique passé sur les bancs de la Chambre des députés!

Sur décision du gouvernement, la députée Tessy Scholtes, stagiaire en éducation physique, sera nommée professeur E7 à la seule condition de passer son mandat de 3 ans sur les bancs de la Chambre des députés, au motif qu’un député ne peut toucher de salaire versé par l’Etat. En voilà une curieuse trouvaille pour sortir de l’impasse juridique créée par une stagiaire devenue députée!
Cette mesure est contraire à la réglementation donnant accès à la profession de professeur E7 qui stipule que le stagiaire suive une formation théorique et pratique, se soumette à un examen de fin de stage pédagogique et rédige un travail de candidature. Elle est aussi contraire au principe de l’égalité de tous devant la loi, donc contraire aux bases démocratiques de notre Etat de droit.
Qui plus est, cette décision est un affront aux jeunes stagiaires qui sont obligés de se soumettre à un stage théorique et pratique de 2 ans et demi, de faire d’innombrables sacrifices pour satisfaire aux exigences du stage pédagogique.
Cette décision est un affront aux nombreux professeurs qui s’investissent comme tuteurs ou comme formateurs pédagogiques et qui sont chargés d’encadrer les jeunes stagiaires et de les préparer progressivement aux multiples défis du métier.
Cette mesure est un affront aux syndicats qui, depuis des années, s’engagent pour une réforme du stage pédagogique axée sur les réalités quotidiennes de l’école.
Cette mesure est un affront à l’école publique en général, qui mérite des professeurs compétents et qualifiés.

On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre!

Par cette mesure, le MENFP court-circuite sa propre politique basée sur l’enseignement des compétences, exigeant de tout enseignant une solide formation de base ainsi qu’une formation continue. Le SEW se demande sur quelle base juridique se fonde pareille incongruité.
A sa façon hautaine et méprisante du corps enseignant, le chef de fraction CSV, Lucien Thiel, a lancé un défi rhétorique aux auditeurs sur les ondes de RTL le jeudi 5 mai les invitant à proposer une meilleure solution pour sortir de l’impasse. Pour y répondre, il n’y a pas lieu de chercher très loin: Madame Scholtes peut soit accepter le mandat de député et se soumettre plus tard au stage pédagogique, aux examens de fin de stage et à la période probatoire, soit renoncer au mandat de député et poursuivre normalement son stage. Il faut parfois faire des choix dans la vie et même comme députée du CSV, on ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre.
Mais les responsables politiques en ont décidé autrement! Madame Tessy Scholtes sera donc professeur par la grâce de ses protecteurs politiques! Comment exercera-t-elle plus tard son métier de professeur d’éducation physique sans avoir la moindre idée de la recherche pédagogique et des techniques didactiques à appliquer?
D’aucuns diront que Madame Scholtes n’aura pas à s’en inquiéter; sa voie est tracée. Par le biais de la politique, elle passera automatiquement dans les bureaux ministériels pour élaborer les prochaines réformes pédagogiques! Pauvre pays, pauvre école publique!

Communiqué par le SEW/OGBL
le 6 mai 2011

Nombreuses doléances du SEW ! Entrevue du département secondaire du SEW/OGBL avec Madame Delvaux-Stehres

Une délégation du SEW/OGBL, composée de Jules Barthel, Guy Foetz, Jacques Maas, Pit Sylvestrie et Sonja Delli Zotti, a récemment rencontré Mady Delvaux-Stehres, ministre de l’Education nationale et de la Formation professionnelle, entourée de ses collaborateurs Marc Barthelemy, Claude Kuffer, André Wilmes, Gérard Zens et Myriam Bamberg.

1. Soulevant plusieurs cas d’ingérence de responsables du MENFP dans des affaires de contestation de mesures disciplinaires par des parents d’élèves, les représentants du SEW ont exigé que la voie hiérarchique (professeur-titulaire / régent / directeur de l’établissement scolaire) soit scrupuleusement respectée préalablement à toute intervention de la part du MENFP. La ministre a rappelé la position officielle du MENPF en la matière: toute contestation d’une mesure pédagogique ou disciplinaire par un parent d’élève doit obligatoirement suivre la voie hiérarchique réglementaire, le MENFP ne prenant en considération que les réclamations présentées par écrit après épuisement de toutes les voies de recours préalables.
Dans le même ordre d’idées la délégation du SEW a soulevé le grave problème du bienfondé réglementaire de l’intervention éventuelle de directeurs/trices et/ou responsables du MENFP dans la modification à posteriori de décisions de promotion d’élèves arrêtées par un conseil de classe, suite à la contestation produite par un parent d’élève. La ministre a promis d’engager une enquête administrative interne sur un cas concret présenté par la délégation syndicale et de lui en communiquer les résultats. Le SEW ne manquera pas d’étudier avec toute l’attention requise la réponse ministérielle et de revenir éventuellement à la charge pour obtenir clarification de la situation réglementaire.

2. L’enseignement par compétences trouve actuellement une nouvelle expression dans un document de travail du MENFP sur l’évaluation des apprentissages dans le cycle inférieur de l’ES et de l’EST. Aux yeux du SEW, l’application de ces propositions tendrait à mettre en avant des compétences vagues au détriment de connaissances précises, à bureaucratiser à l’extrême le travail de l’enseignant – à l’instar de ce qui se passe dans l’enseignement fondamental, à rendre illisibles les résultats et à banaliser davantage encore la promotion des élèves. La ministre a insisté qu’il s’agit d’un document provisoire sujet à discussion.

3. Le SEW a réitéré ses objections à l’encontre de l’esprit et de la mise en oeuvre de la réforme de la formation professionnelle :
– les futurs techniciens seront écartés de l’accès à une formation supérieure – à moins d’accomplir des modules préparatoires en dehors de l’horaire normal – alors que plus de 50 % des emplois créés à l’heure actuelle sont des emplois bac+ ;
– pour nombre de formations, les travaux de préparation sont peu avancés, alors que le MEN veut néanmoins les faire démarrer en septembre prochain.
Le SEW continue de demander une réévaluation des futures formations de technicien, un accès normal aux formations supérieures et un report des formations de DAP et de DT insuffisamment préparées. La ministre s’est prononcée en faveur de l’accès d’un nombre maximum de techniciens au BTS et elle a proposé d’organiser une réunion ultérieure entre le SEW et les responsables du Service de la formation professionnelle du MENFP.

4. Par deux fois, la déduction des frais d’ordinateurs a été accordée par le Tribunal administratif à deux enseignants. Les délégués du SEW ont fait part à la ministre qu’il est inadmissible que l’administration fiscale continue de refuser indistinctement ces frais d’obtention aux enseignants et qu’elle les force à s’engager dans une procédure judiciaire extrêmement coûteuse pour entrer dans leurs droits. Ils ont exigé qu’elle intervienne en tant que ministre de tutelle auprès du ministre des Finances pour faire cesser ces abus de pouvoir. La ministre a assuré qu’elle portera la question à la connaissance du Conseil de gouvernement.

5. Les voyages scolaires confrontent les enseignants avec des problèmes de responsabilité énormes. Les représentants du SEW ont demandé que la situation juridique soit clarifiée et que les frais de déplacement et de séjour des enseignants accompagnateurs soient pris en charge par le budget de l’Education nationale. D’autre part, les dotations aux lycées et lycées techniques réservées pour les voyages scolaires devraient être augmentées.

Communiqué par le SEW/OGBL
le 27 avril 2011

NON à une nouvelle augmentation de la tâche des enseignants!

Le ministère de l’Education nationale et de la Formation professionnelle (MENFP) vient de publier un avant-projet de loi visant à organiser l’année scolaire par semestres. Structurer l’année en semestres présente des avantages et des désavantages.

Dans l’enseignement fondamental, les nouvelles formes d’évaluation exigent l’organisation d’activités d’évaluation en classe pendant une période couvrant plusieurs semaines et ceci pour un trop grand nombre de compétences. L’élaboration des bilans d’évaluation à l’approche de la fin des trimestres demande un investissement de temps considérable de la part des enseignants. Le délai assez restreint entre les périodes d’évaluation ne justifie pas ces efforts et cette perte de temps scolaire. Ainsi l’introduction des semestres présenterait un bénéfice pour les élèves et les enseignants.

Dans les lycées et lycées techniques par contre, les désavantages semblent plutôt prévaloir:

  • les élèves et leurs parents recevraient tardivement le premier bulletin sommatif (fin février-début mars), d’où la nécessité de dresser fin décembre un bilan intermédiaire par la voie de conseils de classe;
  • une réorientation vers une autre classe n’aurait lieu, selon l’avant-projet de loi, qu’à la fin du premier semestre, ce qui est bien trop tard;
  • après le premier bulletin sommatif, les élèves ne disposeraient plus que d’une chance pour se rattraper au lieu de deux dans le système actuel;
  • les vacances de Noël ne constitueraient plus une période de repos pour les élèves, puisqu’elles serviraient à préparer les devoirs qui auraient lieu pendant le mois de janvier.

Il faudra donc discuter le bien-fondé de l’introduction de semestres dans l’enseignement post fondamental. Il est utile de remarquer qu’une première expérience d’organisation par semestres dans l’EST à la fin des années 1990 n’avait pas abouti.

Toutefois, nonobstant le résultat de cette discussion, il est absolument hors de question pour le SEW que la structuration par semestres ne conduise à une nouvelle augmentation de la tâche des enseignants par la voie d’une réduction des vacances et congés scolaires qui leur sont accordés.
Or, par différents moyens – grignotage d’au moins 4 jours au début et/ou à la fin de l’année scolaire, distinction entre périodes de vacances pour les élèves et périodes de vacances pour les enseignants, nouvelle augmentation des tâches administratives et des réunions à prévoir avec tous les parents -, c’est précisément dans cette direction qu’oeuvre l’avant-projet de loi, et cela aussi bien au détriment des enseignants du fondamental que de ceux de l’enseignement secondaire et secondaire technique.

Il ne faut pas surchager la barque!

Il est évident que le SEW ne tolérera pas une remise en question des accords au niveau de la tâche des enseignants, qui ne datent que de 2008 pour l’enseignement fondamental et de 2007 pour l’ES et l’EST. Il faut ajouter que depuis lors, de multiples réformes ont encore alourdi cette tâche et que le stress au travail et le burn-out sont en train de frapper de nombreux enseignants. Le SEW demande par conséquent le maintien de la réglementation actuelle des vacances et congés scolaires.

Par ailleurs, nombre de familles profitent des deux semaines de début septembre pour organiser des vacances moins chères en famille et une semaine de vacances supplémentaire en plein hiver ne peut avoir la même qualité qu’une semaine en été pour les élèves n’ayant pas la possibilité de partir sous des cieux plus cléments.

Le SEW défendra avec tous les moyens syndicaux disponibles les droits des enseignants et il avertit les responsables du MENPF qu’il ne faut pas surcharger la barque!

Communiqué par le Syndicat Education et Sciences de l‘OGBL
le 7 mars 2011

Le SEW s’oppose

La loi du 29 juin 2010 portant création d’une réserve nationale de chargés d’enseignement pour les lycées et les lycées techniques instaure de nouvelles conditions d’engagement des chargés d’éducation à durée déterminée et à tâche complète ou partielle. Cette loi prévoit une formation obligatoire en cours d’emploi qui s’étend sur 60 heures pour tous les chargés d’éducation engagés à durée déterminée.

Le règlement grand-ducal du 15 octobre 2010 précise que « pendant la première année d’engagement, le chargé d’éducation doit se soumettre à une formation en cours d’emploi».

Sans contester le bon sens de cette mesure, le SEW doit constater qu’une partie non négligeable des 60 heures de formation – essentiellement les modules tenus par des spécialistes étrangers parachutés pour l’occasion – aura lieu pendant les congés de Carnaval, de Pâques et de Pentecôte. Or, les chargés d’éducation sont déjà soumis à une charge de travail trop importante: ils doivent en effet assumer 24 leçons par semaine, ce qui équivaut avec la préparation, à un équivalent-travail hebdomadaire de 48 heures.

Le Comité du Département secondaire du SEW considère qu’en fixant des séances de cette formation obligatoire pendant les périodes de congé, les responsables du MENFP ne manquent pas seulement de respect vis-à-vis des chargés d’éducation à durée déterminée, qui ont droit comme tout salarié à des périodes de repos. Nous pensons en outre que le MENFP s’engage ici sur la corde raide en matière de droit social. En effet, le surplus de travail hebdomadaire des enseignants pendant les périodes scolaires est généralement justifié par l’existence de périodes de congé et de vacances plus longues que dans d’autres professions. En accaparant les périodes de congé pour organiser des formations obligatoires, le MENFP viole à notre avis le code de travail.

Par conséquent, le SEW demande aux responsables du MENFP (1) d’organiser la totalité des 60 heures de formation pendant les périodes de travail scolaire des enseignants en y réservant par exemple 15 fois une demi-journée par semaine, à l’instar de ce qui se fait dans le stage pédagogique et (2) d’intégrer les 60 heures de formation obligatoire dans la tâche des chargés d’éducation à durée déterminée et cela notamment à travers les 72 heures annuelles de disponibilité (ACT72).

Nous voudrions insister finalement que la formation en question doit essentiellement être assurée par des enseignants du terrain et non par des théoriciens souvent non familiarisés avec notre système scolaire et éloignés des besoins pratiques des chargés d’éducation.

Communiqué par le Comité du Département secondaire du Syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL,
le 22 décembre 2010