Une convention collective pour neimënster

La signature d’une première convention collective pour les salarié·es de neimënster marque la pérennisation des acquis sociaux et annonce l’obtention de nouveaux avantages.

Le 9 février 2024, une première convention collective de travail a été signée entre les représantant·es de l’OGBL et du Centre Culturel de Rencontre Abbaye Neumünster – dit neimënster – mettant un point final à des négociations qui se sont déroulées dans un climat de travail serein et dans la recherche permanente d’un dialogue social constructif.

Approuvée par le ministère de la Culture, ainsi que par le conseil de gouvernement, la convention collective, signée pour une durée de validité de 3 ans (1er janvier 2024 > 31 décembre 2026), comprend entre autres les avantages suivants :

  • augmentation de la valeur des chèques repas de 10,80 € à 15 € par chèque ;
  • adaptation de la grille des salaires : augmentation de l’avancement des échelons de 0,7% à 1%, et de 0,5% à 0,7% selon les groupes en question, avec reclassement des salarié·es à l’échelon supérieur ;
  • introduction d’une prime d’ancienneté avec effet rétroactif :
    • 1000 € pour 10 ans de service ;
    • 2000 € pour 20 ans de service ;
    • 3000 € pour 30 ans de service.
  • introduction de 2 jours de congé supplémentaires pour les salarié·es âgé·es de 60 ans ;
  • introduction d’un droit à la déconnexion.

Les avantages précédemment acquis, tels que le versement d’un 13e mois, les allocations de famille, ainsi que le congé supplémentaire en fonction de l’âge des salarié·es, ont évidemment été repris dans les termes de la nouvelle convention collective.

Les parties signataires saluent l’accord trouvé, qui améliore les conditions de travail actuelles de l’ensemble des salarié·es, permettant à nëimenster de renforcer son attractivité comme employeur parmi les institutions culturelles du Grand-Duché.

Communiqué par l’OGBL et le Centre Culturel de Rencontre Abbaye Neumünster
le 8 mars 2024

Signature d’un plan social chez Techprint SA

Suite à l’annonce de la fermeture définitive de l’imprimerie Techprint, l’OGBL (seul syndicat représenté au sein de la délégation), la délégation du personnel et la direction de l’entreprise se sont mis d’accord le 11 juillet 2023 sur les modalités d’un plan social. L’imprimerie Techprint a été fondée en 1989 et est située à Ehlerange.

A l’issue de la procédure de consultation prévue par la loi, la direction avait confirmé, le 26 juin dernier, sa volonté de supprimer 22 emplois dans le cadre d’une cessation complète des activités de l’entreprise d’ici le début de l’année 2024. Au cours des cinq dernières années, Techprint a en effet dû faire face à un certain nombre de difficultés économiques d’ordre structurel, liées en grande partie à l’essor de la digitalisation, qui s’est traduit par une baisse importante de son activité.

Les négociations du plan social pour les salariés concernés par le licenciement collectif se sont déroulées dans un climat relativement constructif et dans les délais prévus par la loi.

A l’issue de six réunions de négociation, l’OGBL et la délégation du personnel ont pu négocier, dans le cadre de ce plan social, diverses mesures en faveur des salariés dont notamment :

  • la possibilité de solliciter la préretraite-ajustement pour les salariés remplissant les conditions d’éligibilité (sous réserve évidemment de l’approbation des instances publiques)
  • des indemnités extra-légales liées à l’ancienneté des salariés – soulignons que l’ancienneté moyenne des salariés concernés avoisine les 20 ans
  • des indemnités extra-légales au cas où les salariés trouveraient un nouvel emploi pendant leur préavis
  • ainsi que l’engagement de la direction de libérer immédiatement les salariés qui trouveraient un nouvel emploi pendant leur préavis

De même, la direction de Techprint entreprendra les démarches nécessaires afin que les salariés puissent bénéficier de l’aide au réemploi, ainsi que de l’exemption fiscale des indemnités extra-légales. Les dirigeants de l’entreprise se sont également engagés à aider les salariés dans les démarches nécessaires en vue de trouver un nouvel emploi.

Les parties signataires ont en outre convenu de contacter l’Association des Maîtres Imprimeurs (AMIL) afin de discuter d’une réaffectation/reprise potentielle de certains salariés au niveau sectoriel ; ainsi que l’ADEM pour les aides et mesures d’accompagnement dont les salariés pourraient bénéficier.

L’OGBL ainsi que les représentants du personnel restent évidemment entièrement à la disposition des salariés pour les accompagner tout au long de la durée d’application de ce plan social.

Communiqué par le syndicat Imprimeries, Médias et Culture – FLTL,
le 11 juillet 2023

Renouvellement de la convention collective de travail pour les salariés de la Philharmonie

Les négociations relatives au renouvellement de la convention collective de travail des 180 salariés de l’établissement public Salle de Concerts Grande-Duchesse Joséphine-Charlotte («Philharmonie»), entamées fin 2021, ont pu être clôturées avec succès.

Les dirigeants de la Philharmonie et l’OGBL, seul syndicat représenté au sein de la délégation du personnel, ont ainsi signé récemment deux avenants prorogeant l’actuelle convention collective pour une durée totale de 4 ans (du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022 et du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2025), tout en retenant les améliorations suivantes pour les musiciens de l’orchestre philharmonique ainsi que pour le personnel administratif et technique:

–          Pour l’année 2022:

  • Paiement d’une prime unique de 1000 euros

–          A partir du 1er janvier 2023:

  • Augmentation forfaitaire de 50 euros des échelons de la grille salariale (ce qui correspond à plus de 1% de la masse salariale)
  • Alignement du mécanisme d’avancement d’échelons de la grille des salaires du personnel administratif a celui de la grille des salaires des musiciens (1% au lieu de 0,8% par avancement d’échelon)
  • Paiement d’une deuxième prime unique de 1000 euros
  • Amélioration des modalités d’attribution de la prime de départ à la retraite (désormais tous les salariés âgés entre 57 et 64 ans pourront en bénéficier)
  • Introduction d’un congé social à hauteur de 3 jours de travail par an pour incident majeur à domicile et incident familial majeur

Communiqué par le syndicat Imprimeries, Médias et Culture – FLTL de l’OGBL
le 2 février 2023

Renouvellement de la convention collective de travail chez RTL (CLT-UFA, BCE, RTL Group)

L’OGBL, ensemble avec la «Fräi Lëscht» et le LCGB, a pu négocier récemment une nouvelle convention collective pour les quelque 400 salariés de RTL.

RTL_Convention collective_3Après de longues négociations, en grande partie constructives, qui ont été retardées par la pandémie, les représentants des salariés ont pu signer avec la direction une nouvelle convention collective qui garantit les acquis existants et qui contient des améliorations concernant les salaires et les conditions de travail.

 

Les résultats des négociations suivants méritent d’être soulignés:

  • Revalorisation de la grille salariale et des salaires existants de 1,75%, répartie sur 3 ans
  • Introduction d’une nouvelle grille salariale adaptée aux fonctions actuelles
  • Versement de deux primes uniques d’un montant de 1000 euros brut chacune
  • Augmentation du pécule de vacances et de l’allocation pour charge d’enfant
  • Introduction d’un congé social de 48 heures maximum par an
  • 2 jours de congé supplémentaires liés à l’ancienneté dans l’entreprise
  • Possibilité pour les salariés de convertir leur 13e mois de salaire en jours de congé supplémentaires
  • Introduction d’un compte épargne-temps
  • Dispositions concernant le droit à la déconnexion
  • Fixation de critères pour les fonctions «cadres supérieurs»

La convention collective de travail est applicable rétroactivement à partir du 1er janvier 2022 et a une durée de 3 ans.

Communiqué par le syndicat Imprimeries, Médias et Culture – FLTL de l’OGBL, la «Fräi Lëscht» et par le LCGB,
le 14 avril 2022

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Kick-off Kampagne Informationszugang und mehr Transparenz mit breitem zivilgesellschaftlichen Bündnis

Auf Initiative der Journalistenvereinigung ALJP hat ein Bündnis aus ALJP, dem Verlegerverband Almi, der Action Solidarité Tiers Monde, dem Conseil de Presse, der Ausländerorganisation Asti, Greenpeace, dem Mouvement Ecologique, der Gewerkschaft OGBL und der Luxemburger Unesco heute den Startschuss gegeben, um mit einer breit angelegten gesellschaftlichen Kampagne einen gesetzlich verbrieften Informationszugang für Journalist/innen sowie mehr Transparenz vom Staat zu fordern.

Journalist/innen fordern ein Informationszugangsrecht seit den Verhandlungen zum Meinungsfreiheitsgesetz von 2004 (!). Nur wenn öffentliche Verwaltungen verpflichtet sind, Medienanfragen unverzüglich zu beantworten und sich Journalist/innen auf dieses Recht berufen können, werden sie der Pflicht, staatliche Institutionen auf die Finger zu schauen, nachkommen können. Anders als die Politik gerne glauben lässt, ist das Auskunftsrecht von Journalist/innen kein Privileg, sondern ein Recht für den Berufsstand.

Seit 15 Jahren wartet die ALJP darauf, dass sich endlich etwas tut. Mehrere Unterredungen mit dem Medienminister, mit den Mitgliedern der Medienkommission der Abgeordnetenkammer und mit Vertretern einzelner Parteien sowie das Einreichen einer juristisch ausgearbeiteten Gesetzesvorlage seitens der ALJP (auf Bitten der erwähnten Medienkommission) blieben erfolglos.

Jetzt reicht es!

Die ALJP ruft deshalb zu einer landesweiten ganzjährigen Kampagne für den Informationszugang für Journalist/innen auf – aber auch für mehr Transparenz. Denn nicht nur Journalist/innen bekommen Steine in den Weg gelegt, wenn sie öffentliche Informationen anfragen. Dasselbe gilt für Bürgerinnen und Bürger, sowie Nichtregierungsorganisationen. Anders als von der Regierung angekündigt, stellt sich das Transparenzgesetz von 2018 als „in der Praxis untauglich“ heraus, so Blanche Weber, Präsidentin des Mouvement Ecologique: „Treffender wäre, es Informationszugangs-verhinderungsgesetz zu nennen.“ So seien beispielsweise nicht „Informationen“ zugänglich, sondern nur Dokumente. Dazwischen liege ein gewaltiger Unterschied. Käme hinzu, dass auch nur „administrative“ Dokumente zugänglich sind, wobei weder im Gesetz selbst noch via Jurisprudenz eindeutig festliege, was unter einem „administrativen Dokument“ zu verstehen sei.  Während die Appellkommission zum Transparenzgesetz beispielsweise das Memorandum of Understanding zwischen Regierung und dem Internetkonzern Google zum Standort Bissen als Verwaltungsdokument einstufte und deshalb einem Auskunftsersuchen des Méco stattgab, sehen das die Verwaltungsrichter in erster Instanz und zweiter Instanz anders. „Müssen wir jetzt mit jedem Dokument vor Gericht gehen, um herauszufinden, ob es ein Verwaltungsdokument ist oder nicht?“, fragte Blanche Weber. Und sogar wenn diese Hürde genommen sei, gebe es noch eine Vielzahl an Ausnahmebestimmungen, die sogar die Vermittlung von „administrativen Dokumenten“ verhindern. Ein Spießrutenlauf!

Greenpeace Luxemburg hat im Rechtsstreit um klimaschädlichen Investitionen des Luxemburger Pensionsfonds FDC auch nur einen Teilerfolg erzielt. Das Verwaltungsgericht entschied damals, dass die von Greenpeace angefragten Informationen über klimaschädliche Investitionen des FDC als Umweltinformationen im Sinne des Gesetzes über den Zugang zu Umweltinformationen gelten. Dennoch sei der Minister nicht zuständig, diese Informationen herauszugeben. „Unsere Minister*innen verstecken sich hinter irgendwelchen Ausführungen, um letztendlich keine für die Zivilgesellschaft wichtigen Informationen preiszugeben“, so Greenpeace-Direktor Raymond Aendekerk.

Sergio Ferreira von der Ausländerorganisation Asti erinnerte daran, dass die Regierung seinerzeit angetreten war, um die Fenster weit aufzureißen und mehr Transparenz walten zu lassen. „Davon sehen wir nichts. Auch Konventionen und andere Verträge, die der Staat mit privaten Organisationen abschließt, wie Stiftungen, konventionierte Vereine, müssten verpflichtend offengelegt werden, so Ferreira.

Der Gewerkschaftsbund OGBL monierte die Informationskultur seitens der Regierung ebenfalls. „Wenn es um die Tripartite geht, könnte die Regierung mehr Informationen bereitstellen. Oft sind sie unvollständig“, forderte Pierre Schreiner,, Zentralsekretär des Syndikats Druck, Medien und Kultur. Das Exekutivbüro der Gewerkschaft  unterstützte die Kampagne auch deshalb einstimmig, „weil der Informationszugang zu den grundsätzlichen Handwerkzeugen einer freien Presse gehört“, betonte Schreiner.

Last but not least, unterstrich Michaël Lucas, Generalkoordinator der ASTM, wie schwierig der Zugang zu Informationen etwa zu den wahren Eigentümern hinter Scheinfirmen sei, die in Luxemburg ihren Sitz haben. „Transparenz ist in etwa so wie ein Labyrinth. Man sagt, es existiert ein Ausgang, aber Bürger sind sich selbst überlassen, diesen zu finden“. Im Luxemburger Firmenregister beispielsweise lässt sich nicht nach den Namen der Eigentümer/innen suchen. Transparenz werde von Verwaltungen „meistens reaktiv und nicht proaktiv“ verstanden, so Lucas. Dabei sei es als Instrument unabdingbar: für Journalist/innen geradeso wie für die Zivilgesellschaft, die ein Recht habe, kritisch Informationen analysieren zu können.

Was befürchten die Regierungsparteien, so eine Grundthese, dass sie sowohl der Presse, als auch der Zivilgesellschaft und Bürger*innen ein wirksames Informationsrecht verweigern, das im Ausland gang und gebe ist? Ist nicht gerade in Zeiten der „Fake news“, der Notwendigkeit eines sachlichen Austauschs dieses Recht wichtiger denn je?

Insgesamt unterstützen das Bündnis Informationszugang ins Pressegesetz jetzt sowie für ein echtes Transparenzgesetz elf Organisationen an, als da sind:

  • Association luxembourgeoise des médias d’information
  • Amnesty international Luxembourg
  • Astm
  • Association de soutien aux travailleurs immigrés,
  • Conseil de Presse,
  • European Federation of Journalists
  • Greenpeace,
  • Mouvement écologique,
  • Onofhängege Gewerkschaftsbond Lëtzebuerg
  • Unesco Lëtzebuerg

Solidarisch mit dem Anliegen erklärt hat sich zudem die nationale Menschenrechtskommission CCDH.

Die Kampagne Informationszugang jetzt / für echte Transparenz! besteht aus mehreren Aktionen und Aktivitäten. 

  • Mit einer Präsenz auf den Netzwerken Twitter und Facebook unter eigenem Logo, die wir mit recherchierten Geschichten und Fakten rund um den erschwerten Informationszugang füttern werden.
  • Außerdem wird es einen Menüpunkt Informationszugang auf unserer vereinseigenen Internetseite journalist.lu geben mit regelmäßigen Updates
  • Dafür deklinieren wir zentrale Gesellschaftsthemen durch, darunter, nur um Beispiele zu nennen, Umwelt und Klima, Landesplanung, Bevölkerungsentwicklung, Parlamentarismus. Die exemplarischen Geschichten werden aufdecken, wie schwer es in diesem Land noch immer ist, an wichtige öffentliche Informationen von Verwaltungen zu kommen, obschon diese den Steuerzahler/innen und der Allgemeinheit verpflichtet sind.
  • Am 3. Mai ist Internationaler Tag der Pressefreiheit. Wir laden alle Partner/innen ein zu einem Protest-Piquet vor der Chamber mit Gang zum Staatsministerium.
  • Des Weiteren ist eine eigene Infokampagne mit unseren Medienpartner/innen geplant. Sie werden einige Geschichten aufgreifen und sollen für Reichweite sorgen.

Die ALJP hofft auf die Unterstützung aller in Luxemburg tätigen Journalist/innen und Medienunternehmen. Und sagt heute schon einmal Danke dafür!

Für weitere Informationen stehen folgende ALJP-Vorstandsmitglieder zur Verfügung:

Gerne vermitteln wir auch die jeweiligen Ansprechpartner/innen der Unterstützerorganisationen.

Ines Kurschat, Präsidentin                     (Tel.: 621 425 445)

Luc Caregari, Vize-Präsident                  (Tel.: 691 924 106)
Roger Infalt, Generalsekretär                (Tel.: 691 161 525)

L’OGBL et l’AMIL signent le premier Plan de Maintien dans l’Emploi sectoriel au Luxembourg

Le syndicat Imprimeries, Médias et Culture – FLTL de l’OGBL et l’AMIL (Association des Maîtres Imprimeurs du Grand-Duché de Luxembourg) viennent de signer un plan de maintien dans l’emploi sectoriel, ce qui représente une nouveauté au Luxembourg. En effet, les plans signés jusqu’à présent avaient un champ d’application limité à une entreprise ou à un groupe d’entreprises.

Sous réserve de l’approbation par les instances officielles, le champ d’application visé par ce plan sectoriel comprend tous les ateliers de composition, imprimeries, ateliers de reliure et de reproduction établis légalement de façon indépendante au Grand-Duché de Luxembourg, ainsi que tous les salariés employés dans ces établissements. Par conséquent, toutes ces entreprises auront la possibilité de pouvoir mettre en placer les mesures prévues dans ce plan de maintien dans l’emploi.

L’apparition de la pandémie COVID-19 a fortement frappé le secteur en restructuration et les partenaires sociaux sont conscients de la situation économique et financière de nombreuses entreprises qui devient alarmante pendant que l’incertitude se maintient et se développe dans le secteur. Une planification des activités n’est pas réalisable pour beaucoup d’entreprises, ni à court, ni à long terme, due à la persistance de la pandémie.

Ainsi, l’OGBL et l’AMIL se sont mis d’accord sur plusieurs mesures afin de prévenir par tout moyen des licenciements ou la fermeture d’établissements, dont notamment:

  • Chômage partiel adapté au secteur considéré par les partenaires sociaux comme vulnérable
  • Admission à la préretraite-ajustement
  • Prêt temporaire de main-d’œuvre
  • Dispositions pour une formation professionnelle continue ou qualifiante

Ce plan de maintien dans l’emploi sectoriel est conclu pour une durée de 4 mois. Sous réserve de son homologation, il prendra effet au 1er septembre 2020 et se terminera au 31 décembre 2020.

Une commission (OGBL – AMIL) de suivi de ce plan sera créée. Elle permettra de suivre périodiquement les évolutions de ces actions et l’impact qu’elles ont sur le personnel.

Communiqué par le syndicat Imprimeries, Médias et Culture – FLTL de l’OGBL
le 26 août 2020