Les salariés de Villeroy & Boch ne demandent ni l’aumône, ni une prime ou une gratification, mais une indemnité de départ décente qui leur permet de survivre et de ne pas tomber dans la déchéance. Ces hommes et ces femmes n’ont pas demandé à être licenciés, ils ne sont pas responsables de la délocalisation que Villeroy & Boch pratique dans un seul but de se faire encore plus d’argent sur le dos de ses salariés.
La revendication de minimum 120€ par mois travaillé, équivalent à ce qui a été payé en 2006, ne constitue qu’une petite réserve financière pour permettre à ces gens de tenir jusqu’à ce qu’ils aient retrouvé un nouvel emploi. Si nouvel emploi il y a, car la conjoncture est extrêmement difficile et l’industrie crée de moins en moins de places.
Nous soutenons tous les salariés de Villeroy & Booch mais aussi de tous les autres salariés des entreprises qui sont eux-mêmes victimes d’un licenciement et dont l’avenir est incertain.
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