Avita Shapira de la confédération syndicale d’Israël au Luxembourg

Une délégation de l’OGBL a reçu Madame Avita Shapira-Shabirow, directrice du département international d’Histadrut, la principale centrale syndicale d’Israël, pour un échange de vues. Histadrut fut fondé par David Ben Gurion en 1920. Fort aujourd’hui de 700.000 membres, Histadrut n’est pas seulement la première organisation syndicale en Israël, mais la centrale joue également un rôle important dans le processus de paix israélo-palestinien. En effet, Histadrut entretient d’excellentes relations avec la confédération syndicale de Palestine (PGFTU). Les domaines de collaboration entre les deux organisations syndicales comprennent notamment la formation et la formation continue des travailleurs palestiniens dans les secteurs du transport et du bâtiment, l’assistance juridique, la santé et la sécurité au travail ainsi que l’entraide financière.

A partir du 1er mars 2010, les travailleuses et travailleurs migrants auront le droit de devenir membres à part entière d’Histadrut. Cette décision historique prise par la centrale syndicale nationale le 28 décembre 2009 révoque une anomalie en vertu de laquelle seuls les citoyens israéliens et les personnes résidant légalement en Israël avaient le droit d’adhérer à Histadrut et de poser leur candidature aux élections syndicales.

Les autres sujets abordés comprenaient notamment les origines du syndicalisme en Israël et son évolution à travers les décennies, les problèmes liés à la crise économique mondiale actuelle, la négociation collective, le droit du travail, les questions d’égalité et de non-discrimination entre les femmes et les hommes, ainsi que la situation politique en Israël.

La délégation de l’OGBL était particulièrement intéressée par les relations entre Histadrut et la confédération syndicale de Palestine et les accords d’entraide concrète signés récemment.

Les deux parties ont exprimé la volonté d’approfondir leurs relations à l’avenir.

Communiqué par l’OGBL
le 26 février 2010

Séisme Haïti : Appel à la solidarité et aux aides

L’ONG OGBL Solidarité Syndicale lance un appel pour collecter des fonds pour aider les victimes du séisme à Haïti.
En effet, un séisme de magnitude 7 sur l’échelle de Richter a touché Haïti le 12 janvier à 16h53. Cette catastrophe majeure touchant le pays le plus pauvre dans les caraïbes laisse craindre «plus de 100.000» morts.
Un des objectifs de l’ONG OGBL Solidarité Syndicale étant de fournir une aide directe ou indirecte à des organisations, institutions et habitants de pays en voie de développement, l’ONG de l’OGBL va soutenir l’action humanitaire pour Haïti par le biais de son affiliation à l’organisation internationale Solidar.*
L’ONG de l’OGBL lance un appel de virer les dons au compte de :

OGBL/ONG Solidarité Syndicale
CCPL LU54 1111 0828 4810 0000
(mention: Haïti-Solidar)

L’Union syndicale Luxembourg se joint à l’OGBL dans cette action.

* SOLIDAR est une alliance européenne d’ONG et de mouvements travaillistes engagés pour une vie dans la dignité pour tous. SOLIDAR promeut les principes de solidarité, d’égalité et de justice sociale dans les domaines des affaires sociales, de la coopération internationale et de l’éducation.

Le sommet du G8 à l’Aquila – Evaluation du TUAC

Juillet 2009

0907t_g8_LAquila_eva_fr.pdf

L’OGBL demande au gouvernement luxembourgeois de s’investir pour un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza

Le refus d’Israël et du Hamas d’accepter la Résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu est totalement inacceptable, et provoquera encore la mort d’un plus grand nombre de civils innocents, dans la mesure où Israël intensifie son action militaire et le Hamas continue de tirer des roquettes de l’autre côté de la frontière.

L’OGBL estime que la Résolution de l’ONU offrait un cadre clair et équilibré à un cessez-le-feu immédiat. Toutefois, aussi bien Israël que le Hamas ont refusé de la mettre en oeuvre, alors qu’elle traite les causes immédiates des combats actuels et constitue la base pour instaurer une paix juste et durable. Ce refus est imprudent et profondément déplorable, dans la mesure où ce sont des civils innocents qui continueront de payer au prix fort le manquement des dirigeants politiques à engager des négociations au lieu de recourir aux balles et aux bombes .

La communauté internationale doit à présent s’engager de manière effective à réclamer un cessez-le-feu immédiat, et à appeler les gouvernements israélien et palestinien à la table de négociations.

Communiqué par le Bureau exécutif de l’OGBL
le 15 janvier 2009

G20: sind die Entscheidungen von Washington der Finanzkrise gewachsen?

Obwohl die Führungsspitzen der wichtigsten Wirtschaftsmächte bei ihrem Treffen am 15. November 2008 in Washington eingestanden haben, dass wir die schlimmste Finanzkrise der letzten Jahrzehnte durchleben, haben sie sich größtenteils darauf beschränkt, Grundsatzerklärungen abzugeben. Ihre größte Sorge galt der Beruhigung des Großkapitals und so versicherten sie, dass sie dem offenen Handel, den freien Märkten und der Ablehnung jeglichen Protektionismus weiterhin verpflichtet bleiben.

Die Gewerkschaften hatten über den Internationalen Gewerkschaftsbund (IGB), eine Reihe Reglementierungs- und Kontrollmaßnahmen vorgeschlagen, die nicht in der Abschlusserklärung zurückbehalten wurden: die öffentliche Rechenschaftspflicht der Zentralbanken; den Ausbau der solidarwirtschaftlichen Finanzdienstleistungen; Absicherung der Rentensysteme; die Besteuerung der internationalen Finanztransaktionen; die Kontrolle der Spekulation auf den Börsenmärkten, darunter die der Rohstoffmärkte; der Schutz der Konsumenten und Haushalte gegen die von schierer Gier getriebenen Praktiken verschiedener Kreditinstitute.

Trotzdem ist es anerkennenswert, dass die G20-Erklärung das Vorhandensein von Reglementierungslücken im internationalen Finanzsystems eingesteht, was in den vorherigen G8-Erklärungen nicht der Fall war. Insbesondere haben sich die am G20 anwesenden Wirtschaftsmächte dazu verpflichtet „den Anwendungsbereich der Finanzregulierung zu überprüfen und den Institutionen, den Instrumenten und den zurzeit nichtreglementierten Märkten ein besonderes Augenmerk zu widmen“. Laut IGB-Stellungnahme ist jedoch nicht gesichert, dass diese Prüfung jenen Reglementierungslücken Beachtung schenkt, von denen die spekulativen Hedge-Fonds, die Private Equity-Gesellschaften und die anderen nichtregulierten Investmentfonds profitieren. Der politische Wille einen Reglementierungsrahmen zu schaffen scheint zu fehlen, da die Führungskräfte lediglich auf Selbstdisziplin seitens der Hedge-Fonds und der Private Equity-Fonds hoffen.

Die Arbeitnehmerorganisationen wurden nicht eingebunden Außerdem sieht der Text kein Mitspracherecht für die Gewerkschaftsorganisationen und die Internationale Arbeitsorganisation (ILO) bei den laufenden Verhandlungen vor. Man sollte allerdings bedenken, dass die internationale Krise global zu einem Verlust von insgesamt 150 bis 160 Tausend Arbeitsplätzen im Bankensektor führen kann, das Überschwappen auf die Realökonomie allerdings, – und dies geschieht gerade als direkte Folge der Finanzkrise -, Millionen von Menschen ihren Arbeitsplatz kosten kann.

Es wäre demzufolge legitim, dass diejenigen internationalen Organisationen, die die Arbeitnehmerinteressen vertreten, offiziell in den Entscheidungsprozess einbezogen würden.

Die Gewerkschaften fordern ein Mitspracherecht
Für die Gewerkschaften hat der Interessenkonflikt zwischen den nichtkontrollierbaren und nichtreglementierten Finanzmärkten einerseits, und den Finanzierungsbedürfnissen der Realwirtschaft, um annehmbare Arbeitsplätze zu bieten andererseits, die Weltwirtschaft an den Rand der Katastrophe gedrängt.
Die Gewerkschaften haben nur sehr wenig Vertrauen in Treffen zwischen Regierungen und Bankern zur Behebung der Krise welche hinter verschlossener Tür ablaufen. Die gegenwärtige Krise kann nur durch größte Transparenz und durch Konsultation bewältigt werden. Die internationalen Gewerkschaftsorganisationen sind bereit auf internationaler Ebene ihren Teil zu diesem Prozess beizutragen. Für den OGBL gilt dies aber auch was die Gespräche und Verhandlungen auf nationaler Ebene anbelangt. Denn die ersten Opfer dieser Krise werden die Arbeitnehmer sein. Es muss deshalb alles getan werden, um diese zu schützen.

In den kommenden Wochen und Monaten werden sich die internationalen Gewerkschaftsorganisationen auf allen Ebenen mobilisieren, um sich für die Arbeitnehmerrechte in einem sich verschlechternden Arbeitsumfeld zu schützen.

Mitgeteilt vom OGBL
am 20. November 2008

Déclaration syndicale internationale pour le sommet de crise du G20

DECLARATION_SYNDICALE_G20_151108.pdf