OGBL und Votum Klima: Meinungsaustausch zur Klima- und Energiepolitik

Vor kurzem traf der OGBL eine Delegation des Bündnisses „Votum Klima“, das die Organisationen Action Solidarité Tiers Monde (ASTM), Caritas Luxemburg, Mouvement Ecologique und Greenpeace Luxemburg umfasst. „Votum Klima“ war im Januar an die Presse getreten, um der zukünftigen Regierung ihre gemeinsamen Forderungen zur klima- und energiepolitischen Wende in Luxemburg zu unterbreiten.

Die Vertreter der vier Organisationen stellten dem OGBL ausführlich die Ideen und Vorschläge des Bündnisses vor. Themen waren unter anderem die Senkung der Treibhausgasemissionen um 30% bis zum Jahr 2020, die Auswirkungen des Klimawandels auf die Entwicklungsländer und die daraus folgenden Erfordernisse bezüglich der Entwicklungspolitik, sowie die Alternativen zur voraussichtlichen Abnahme der Staatseinnahmen durch den „Tanktourismus“.

Jean-Claude Reding erläuterte, dass sich die Vorstellungen des OGBL und der internationalen Gewerkschaftsbewegung in vielen Punkten mit den Forderungen von „Votum Klima“ überschneiden würden. So habe der Europäische Gewerkschaftsbund darauf aufmerksam gemacht, dass man angesichts der Wirtschafts- und Finanzkrise die ökologische Krise nicht aus den Augen verlieren solle. Auch die Empfehlungen der Chambre des Salariés zur Sitzung der Tripartite vom 3. März habe einige ergänzende Vorschläge in Richtung einer klima- und energiepolitischen Wende enthalten, darunter Investitionen in erneuerbare Energien oder auch der Ausbau des grenzüberschreitenden öffentlichen Transports.

Der OGBL und Votum Klima kamen überein, den Dialog zu diesen Fragen weiterzuführen, und gegebenenfalls zu einzelnen Punkten gemeinsam zu agieren.

Mitgeteilt vom OGBL
am 11. März 2009

OGBL begrüßt zusätzliche Vorschläge seitens der Regierungspartei LSAP

Mit großem Interesse hat der OGBL die zusätzlichen Maßnahmen für die Krisenbewältigung, die seitens der LSAP gefordert wurden, zur Kenntnis genommen.

Der OGBL begrüßt es insbesondere, dass sich in der Frage der Kurzarbeit eine der beiden Regierungsparteien nun eindeutig auf die Seite der Arbeitnehmer stellt. Der OGBL und die Arbeitnehmerkammer hatten im Rahmen der Dreierkonferenz finanzielle Verbesserungen für die von Kurzarbeit betroffenen Arbeitnehmer gefordert und entsprechende Vorschläge unterbreitet. Im dem Sinne begrüßt der OGBL, dass sich die LSAP dafür einsetzt, die Entschädigung generell auf 90% anzuheben und auf 100% im Falle wo der Arbeitnehmer an einer beruflichen Weiterbildung teilnimmt. Der OGBL fordert, dass jedem Arbeitnehmer das Recht auf eine solche berufliche Weiterbildung garantiert wird.

Des Weiteren hatte der OGBL bereits mehrmals gefordert, über ein Anheben der Solidaritätssteuer nachzudenken, falls der Beschäftigungsfonds überstrapaziert werden sollte. Diese Maßnahme stand auch bereits im Tripartite-Abkommen von 2006, wurde aber bis heute nicht umgesetzt. Auch diese Idee wurde jetzt von der LSAP ins Gespräch gebracht. Der OGBL sieht sich auch in diesem Punkt bestätigt. In der nächsten Zeit muss massiv aus dem Beschäftigungsfonds geschöpft werden, insbesondere um die Kurzarbeit und die Beschäftigungspläne zu finanzieren. Da ja bei Kurzarbeit die ersten 16 Stunden nicht mehr zu Lasten des Arbeitgebers sondern des Beschäftigungsfonds gehen, werden bereits deshalb verhältnismäßig mehr Mittel gebraucht. Des Weiteren macht der OGBL darauf aufmerksam, dass im Juli hunderte von Schulabgängern zusätzlich auf den Arbeitsmarkt kommen werden. Auch diesen jungen Menschen müssen erste Berufsperspektiven eröffnet werden, die zum Teil nur über den Beschäftigungsfonds finanziert werden können. Für den OGBL kommt andererseits ein Absenken der Arbeitslosenentschädigung nicht in Frage, falls dies seitens der Regierung in Erwägung gezogen werden sollte, um die Belastung des Beschäftigungsfonds zu reduzieren.

Anlässlich einer Unterredung mit den Ministern Krecké und Biltgen am 6. März 2009 zeigte sich Minister Biltgen der OGBL-Delegation gegenüber zu Recht besorgt über das Ausmaß der Belastung des Beschäftigungsfonds. Warum also nicht bereits heute ein Anheben der Solidaritätssteuer sowohl für die Betriebe als auch für die Privathaushalte ins Auge fassen?

Mitgeteilt vom OGBL
am 11. März 2009

Il faut éviter que la crise économique ne se transforme en crise sociale

Lors de sa réunion du 10 mars, le Comité national de l’OGBL a traité la situation économique et sociale du pays, la politique du maintien de l’emploi ainsi que la situation dans différents secteurs et entreprises. En outre, le Comité national a salué la généralisation pour les salariés de droit privé de la pratique des prêts hypothécaires par la Caisse nationale d’assurance pension (CNAP) et a analysé la pratique de la continuation du salaire par l’employeur en cas de maladie. Les rendez-vous politiques et syndicaux aux niveaux européen et international ont été présentés et la participation de l’OGBL aux actions syndicales internationales a été approuvée. Le Comité national a donné feu vert à la Chambre des salariés de développer son offre dans le domaine de la formation syndicale continue et du bien-être au travail. Finalement le projet de l’ONG Solidarité syndicale au Ghana a été présenté ainsi que le forum international «Globalisation de la solidarité» qui se tiendra du 22 au 25 avril dans les locaux d’OPE à Schifflange.

Un oui mais pour les résultats de la Tripartite

Le président de l’OGBL a salué les résultats de la Tripartite du 3 mars 2009 et souligné que le gouvernement n’a pas proposé de mesures ayant des conséquences négatives sur le pouvoir d’achat et les prestations de la sécurité sociale. L’OGBL confirme qu’il reste d’avis que la crise doit être combattue par un haut niveau d’investissements publics mais aussi par le maintien et l’amélioration du pouvoir d’achat des salariés et des pensionnés. Le gouvernement doit cependant faire des efforts supplémentaires en ce qui concerne la mise en pratique de sa politique du maintien dans l’emploi (voir aussi l’interview avec Jean-Claude Bernardini). Dans ce contexte, il faut axer conséquemment sur la formation continue afin que les périodes de chômage partiel soient mises à profit pour donner aux salariés touchés la possibilité de perfectionner leur qualification. Ici il faudrait recourir à l’offre des chambres professionnelles, mais les salariés eux aussi devraient pouvoir prendre des initiatives personnelles. Les cours de langue devraient faire partie des cours de formation continue reconnus. Comme de nombreuses petites entreprises ne sont souvent pas à même de mettre sur pieds des cours, des programmes sectoriels spécifiques devraient être élaborés.

Ne pas faire du congé de maladie un problème

Le Comité national s’est préoccupé aussi de l’application en pratique des congés de maladie et de la continuation du salaire. Il paraîtrait que de plus en plus d’employeurs exigent un certificat de maladie dès la première journée d’absence. Une façon de procéder en principe possible, la pratique courante était pourtant que le salarié ne présente un certificat que le 3e jour. L ‘OGBL craint fortement que cette nouvelle pratique ne conduise non seulement à une charge supplémentaire pour les médecins et la Caisse nationale de santé, mais également à une augmentation des congés de maladie étant donné que le médecin ne prescrirait que rarement un congé de maladie d’une seule journée.

En ce qui concerne la continuation du salaire, l’OGBL revendique que le salarié soit rémunéré intégralement, comme s’il avait continué de travailler normalement. Le législateur parle en effet de «continuation» de salaire et non d’ «indemnité» de maladie. D’après les nouvelles dispositions légales en vigueur depuis le 1er janvier 2009, l’employeur est tenu de maintenir en cas d’incapacité de travail prolongée le salaire du salarié pendant les 77 jours de maladie continue et pour le reste du mois dans lequel tombe le 77e jour. Dans ce cas, il ne faut pas seulement prendre en compte le salaire de base. En plus du salaire de base, le salarié a droit aux autres avantages financiers et en nature résultant du contrat de travail ou de la convention collective de travail applicable.

Pour l’OGBL ceci comprend également les majorations pour travail de nuit, de dimanche et de jour férié, sous condition que ce travail soit effectué régulièrement et payé mensuellement. Sinon, en cas de longues périodes de maladie, des réductions substantielles de revenu s’ajouteraient aux problèmes de santé des salariés concernés. Ceci n’est pas acceptable pour l’OGBL.

Actions syndicales internationales

C’est avec grand intérêt que le Comité national a pris connaissance des actions syndicales relatives à la crise qui se dérouleront sur la scène européenne et internationale dans un proche avenir. Le 28 mars aura lieu à Londres une grande manifestation sous le thème «Nous ne payerons pas pour votre crise» à l’occasion du sommet G20 (voire aussi l’article sur le sommet du G20). Outre les syndicats, divers réseaux de mouvements sociaux participeront à cette manifestation. L’OGBL sera représenté par plusieurs membres de son Bureau exécutif.

Le Confédération européenne des syndicats appelle à des manifestations décentralisées contre la crise ayant comme but de placer au centre de la lutte contre la crise les citoyens et non les banques qui sont les responsables de la crise. Le 14 mai une manifestation aura lieu à Madrid, le 15 mai à Bruxelles avec une grande délégation de l’OGBL et le 16 mai à Berlin où le Bureau exécutif de l’OGBL sera représenté.

Chancengleichheit ist immer noch mehr Schlagwort als Realität

Solange es Ungerechtigkeiten zwischen den Geschlechtern gibt, bleibt der Internationale Frauentag notwendig. Seit 1911 wird der Internationale Frauentag am 8. März begangen. Die ursprünglichen Forderungen nach besseren Arbeits- und Lohnbedingungen sowie besseren Wohn- und Lebensbedingungen für Frauen sind auch heute leider noch aktuell. Frauen müssen nach wie auf ihr Recht auf Arbeit, gerechte Entlohnung und gleiche Bildungs- und Aufstiegschancen pochen. Dazu gehören auch Forderungen nach familiengerechten Arbeitszeiten, Ausbau von Kinderbetreuungsplätzen und die gleichberechtigte Teilhabe von Männern an der Familienarbeit.

Der Staat soll endlich seine Verantwortung übernehmen …

Die Frage sei erlaubt, warum eigentlich die Frauen für ihre Rechte eintreten müssen.
Spätestens seit der Verfassungsrevision im Sommer 2006, anlässlich welcher festgehalten wurde, dass der Staat dafür Sorge zu tragen hat, dass die Abschaffung von möglichen Schranken die der Gleichheit zwischen Frauen und Männern entgegen stehen, aktiv gefördert wird, liegt der Ball also offiziell beim Staat, also bei der Regierung. Dieser ist es vorbehalten zu handeln damit die Gleichheit der Geschlechter realisiert wird. Es ist also eine öffentliche Verantwortung und nicht die der Frauen allein auf die Missstände aufmerksam zu machen und diese zu beheben.

… beispielsweise beim Entgeltunterschied

Immer noch besteht ein Entlohnungsunterschied zwischen Frauen und Männern – den letzten statistischen Zahlen von 2002 nach – verdienen Frauen im Durchschnitt nur 72% von dem, was ihre männliche Kollegen bekommen. 16 dieser 28% weniger Einkommen sind auf die strukturellen Unterschiede zwischen männlicher und weiblicher Beschäftigung zurückzuführen. Für die restlichen 12%, bei denen die Charakteristiken der individuellen und betrieblichen Beschäftigung identisch sind, gibt es keine Erklärung für die Ursache dieses Unterschiedes.
Der OGBL stellt fest, dass es seit dieser Erhebung keine mehr gab und es somit schwer nachvollziehbar ist, ob die im Nationalen Aktionsplan für die Gleichheit (2006 – 2008) vorgesehenen Ziele, zu denen auch die Lohngleichheit gehört, erreicht wurden.
Der OGBL denkt, dass dem nicht so ist.

Die Ursachen der erklärbaren Entgeltungleichheit sind unterschiedlicher Art. So sind zum Beispiel Tätigkeiten, die Frauen ausüben, nicht so hoch bewertet. In Bereichen, wo ein hoher Frauenanteil ist, sind die Einkommen geringer als in denen, wo ein hoher Männeranteil besteht. Dies gilt sowohl für den Privatsektor als auch, und das ist besonders bedauernswert, für den öffentlichen Dienst. Es besteht eine Menge Nachholbedarf, die Funktionsbewertung anders zu gestalten und hier muss der Staat eine Vorreiterrolle spielen.

… durch die Schaffung einer fortschrittlichen Gesetzgebung

Lohnunterschiede bei gleicher oder gleichwertiger Arbeit dürfte es laut der großherzoglichen Verordnung von 1974 eigentlich keine geben. Leider sieht die Verordnung aber keine Maßnahme vor, die es der Arbeitnehmerin oder dem Arbeitnehmer erlaubt zu kontrollieren, ob der Arbeitgeber das Prinzip der Entlohnungsgleichheit einhält oder nicht.
Der Nationale Aktionsplan für die Gleichheit, wir erinnern, dieser galt für 2006 bis 2008, sah zwar vor, dass eine der Maßnahmen zum Erreichen der Gleichheit, die Schaffung eines Basisgesetzes zur Gleichbehandlung von Männern und Frauen sei, mit dem Ziel eine größere Transparenz und einen besseren Zugang zu den Texten zu gewährleisten und ein Gesetz über die Entgeltgleichheit zu schaffen, da bisher ja nur eine Verordnung besteht.

Der OGBL erinnert daran, dass er schon in seiner Kongressresolution von 2004 ein solches Basisgesetz gefordert hat und bisher nicht in Kenntnis gesetzt wurde, dass ein solches in Ausarbeitung sei. Wo bleibt also dieses Gesetz? Es wäre an der Zeit die
Sozialpartner mit ein zu beziehen.

Mitgeteilt vom OGBL
am 6. März 2009

L’OGBL salue la généralisation de la pratique des prêts hypothécaires suite au statut unique

Avant le statut unique, les «employés privés» pouvaient contracter un prêt hypothécaire par l’intermédiaire de la Caisse de pension des employés privés. Pour les ouvriers ceci n’était pas possible. Or, suite à la mise en oeuvre de la loi sur le statut unique, la distinction entre «employé privé» et «ouvrier» a été supprimée dans le droit luxembourgeois. Les anciennes caisses de pension pour les salariés de droit privé ont été fusionnées en une seule caisse de pension, la Caisse nationale d’assurance pension (CNAP). Les réserves de la CNAP sont gérées par une entité autonome, le Fonds de compensation commun au régime général de pension (FDC).

Lors de sa première réunion en 2009, le FDC a adopté un règlement qui l’autorise à accorder des prêts hypothécaires sous certaines conditions à tous les salariés de droit privé. Ces prêts sont cependant réservés à l’achat ou la construction de maisons d’habitation unifamiliales et d’appartements en copropriété sur le territoire luxembourgeois ou au financement de transformations dans ces immeubles.

Les prêts du FDC sont réservés aux assurés:
a) qui comptent 2 années d’affiliation auprès du régime général d’assurance pension géré par la CNAP (ou à leur conjoint ou partenaire au sens de l’article 2 de la loi du 9 juillet 2004);
b) qui ne sont pas propriétaires et qui n’ont pas été propriétaires d’un immeuble ni au Grand-Duché ni à l’étranger sauf s’il s’agit d’objets que le FDC reconnaît être d’une valeur inférieure à 25 000 euros;
c) auxquels le logement à financer sert d’habitation principale et permanente.
L’OGBL salue cette décision de la part du FDC et souligne qu’il s’agit encore d’un résultat positif de l’introduction du statut unique de tous les salariés de droit privé. Il s’agit en effet d’une suppression d’une autre forme de discrimination qui existait précédemment entre les ouvriers et les employés.

Le règlement en question peut être consulté sur le site Internet de l’OGBL sous la rubrique « Informations utiles » (www.ogbl.lu).

Communiqué par l’OGBL
le 5 mars 2009

L’OGBL demande une entrevue avec le gouvernement

En date du 4 février 2009, l’OGBL a demandé une entrevue avec les ministres Krecké et Biltgen pour discuter d’une évolution inquiétante dans le secteur industriel. En effet, de plus en plus d’entreprises procèdent à des plans sociaux et des réductions d’effectifs.

L’OGBL souhaite connaître la stratégie du gouvernement pour accompagner, voire contrer ce développement. Par ailleurs, il y a lieu de garder un certain scepticisme vis à-vis de cette situation. Car, il est à craindre que certaines entreprises essaient de profiter de la situation pour mettre en oeuvre des mesures de restructuration, de délocalisation ou de précarisation de l’emploi en général, avec le but notamment de dégager des marges plus importantes pour les actionnaires, sans se soucier des conséquences sociales de leurs décisions. ArcelorMittal est un excellent cas d’espèce.

Après avoir annoncé dans son plan de restructuration la suppression de 9 000 postes dont 6 000 en Europe, le leader mondial de l’acier annonce vouloir distribuer plusieurs milliards d’euros aux actionnaires.

Les déclarations récentes de certains responsables patronaux luxembourgeois montrent que les vieilles recettes dogmatiques sont toujours bien vivantes. Certains ne semblent toujours pas avoir compris la gravité de la situation et les risques qu’elle comporte de faire naître une crise sociale comme l’Europe n’en a plus connue depuis la 2e Guerre mondiale.
Plutôt que de recourir à ces vieilles recettes, et compte tenu de l’envergure de la crise, l’OGBL revendique au contraire un droit d’ingérence du gouvernement notamment dans les entreprises à importance nationale et certainement dans celles qui bénéficient d’aides ou d’assurances étatiques.

L’OGBL demande que le gouvernement s’engage de façon claire en faveur du maintien de l’emploi et du maintien dans l’emploi ou dans la formation de celles et ceux qui seraient frappés par un plan social ou menacés de licenciement. Tout doit être fait afin de garder les compétences et qualifications présentes sur le marché de l’emploi au Luxembourg. Ceci vaut également pour les salariés frontaliers. Il faut appliquer les moyens du maintien dans l’emploi déjà existants et, le cas échéant, en inventer d’autres. Car sinon, en cas de redémarrage des activités notamment dans les secteurs à haute valeur ajoutée, les qualifications nous feront défaut.

Communiqué par l’OGBL
le 11 février 2009