Le SEW/OGBL se montre solidaire des lycéens dans leur lutte en faveur du climat et demande aux enseignants de ne pas sanctionner les participants

14.10.2018_Editpress_464892-778x450[1]Conscients, et des conséquences désastreuses du changement climatique pour les générations futures, et du manque d’action des gouvernements passés et présents, les élèves des lycées luxembourgeois organiseront les 20 et 27 septembre 2019 de nouvelles manifestations en faveur du climat.

Le ministre Meisch vient de donner ordre aux directions des lycées de faire sanctionner tout élève participant pendant ses heures de cours à ces manifestations, et ce par des absences non-excusées sur leur bulletin d’études.

En cette période cruciale pour notre planète, le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL ne peut que soutenir les élèves à prendre leur courage à deux mains, à accepter le risque de sanction et à manifester leur mécontentement en participant massivement à cette action.

Un tel acte de désobéissance civile ne doit pas faire peur aux jeunes. Tout au contraire. Par cette action, ils prouvent leur volonté à œuvrer pour l’intérêt général, à éveiller la conscience des autres citoyens, à susciter un débat, et ce, au prix de graves risques personnels.

Conscient de l’importance et de l’urgence à agir activement au sauvetage de notre planète, le SEW/OGBL appelle tous les enseignants à soutenir ouvertement les élèves dans leur lutte pour un avenir meilleur et à ne pas empêcher celles et ceux qui, poussés par des motivations nobles et sincères, entravent certaines de nos règles habituellement sanctionnables.

Le SEW/OGBL appelle tous les enseignants à exprimer leur mécontentement à l’égard de la décision prise par le ministre Meisch de faire sanctionner les élèves et étudiants qui ont le courage de se battre pour leur avenir.

Laissons nos élèves et étudiants participer librement aux manifestations des 20 et 27 septembre prochains. Plutôt que des sanctions, ils méritent notre respect.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 19 septembre 2019

Le SEW/OGBL se montre solidaire des étudiants dans leur lutte en faveur du climat et demande aux enseignants de ne pas sanctionner les participants

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Après la manifestation du 15 mars dernier, les étudiants luxembourgeois, conscients, et des conséquences désastreuses du changement climatique pour les générations futures, et du manque d’action des gouvernements passés et présents, organiseront le 24 mai 2019 une action de désobéissance civile et demandent aux élèves et étudiants de participer à cette action en faveur du climat malgré le risque de se voir attribuer une sanction sous forme d’absence non excusée.

En cette période cruciale pour notre planète, le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL ne peut que soutenir les élèves à prendre leur courage à deux mains, à accepter le risque de sanction et à manifester leur mécontentement en participant massivement à cette action.

Un tel acte de désobéissance civile ne doit pas faire peur aux jeunes. Tout au contraire. Par cette action, ils prouvent leur volonté à œuvrer pour l’intérêt général, à éveiller la conscience des autres citoyens, à susciter un débat, et ce, au prix de risques personnels.

Conscient de l’importance et de l’urgence à agir activement au sauvetage de notre planète, le SEW/OGBL appelle tous les enseignants à soutenir les élèves dans leur lutte pour un avenir meilleur et à ne pas empêcher celles et ceux qui, poussés par des motivations nobles et sincères, entravent certaines de nos règles habituellement sanctionnables.

Laissons nos élèves et étudiants librement participer à la manifestation du 24 mai prochain. Plutôt que des sanctions, ils méritent notre respect.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 22 mai 2019

Une évaluation injuste et discriminatoire par rapport aux sections économiques dans l’enseignement classique et général

A l’aube de la période des examens dans les classes terminales, le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL tient à pointer le système d’évaluation du «projet intégré final» (PIF) dans le cadre de la formation du technicien commercial de la formation professionnelle, discriminatoire à ses yeux, comparé au système d’évaluation des examens des sections économiques et commerciales dans les régimes de l’Enseignement secondaire classique (section D) et de l’Enseignement secondaire général (section CG).

 

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Le SEW ne peut plus accepter une telle politique discriminatoire à l’égard des centaines d’élèves du technicien commercial de la formation professionnelle et demande, dans la perspective d’un retour à une évaluation par points, à ce que les critères d’évaluation et d’organisation de leur projet intégré final (PIF) soient adaptés dans les plus brefs délais afin de les faire concorder avec les critères d’évaluation et d’organisation des examens dans l’ESC et l’ESG.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 16 mai 2019

La situation actuelle du candidat-professeur n’est plus tenable – au ministre Meisch de faire régulariser d’urgence leur situation

À l’heure où de nouvelles modifications au niveau du stage dans l’enseignement secondaire s’annoncent, le SEW/OGBL demande au ministre Meisch de s’occuper d’urgence de la situation contractuelle du candidat-professeur dans l’ESC et l’ESG.

A l’époque où le titre de candidat-professeur a été créé, le parcours régulier de l’enseignant prévoyait la réussite des études universitaires, de l’examen-concours, de la formation pédagogique dispensée par l’Université du Luxembourg et la réussite des épreuves de la période probatoire. Tout cela pour être nommé « candidat ». Ce n’était qu’après la rédaction et la soutenance d’un travail de recherche – le « travail de candidature (TC) » – durant une période de 18 mois (avec une décharge à la clé) que l’enseignant était finalement nommé professeur.

Avec la réforme de la Fonction publique de 2015, la fonction de candidat et le « TC » ont été tout simplement abolis et depuis, les acquis du candidat correspondent parfaitement aux exigences actuelles pour être nommé professeur ! Avec la nouvelle réforme annoncée, les acquis du candidat dépassent même largement ce qui sera dorénavant exigé de la part des stagiaires.

Le SEW/OGBL ne peut accepter que plusieurs centaines d’enseignants-fonctionnaires se retrouvent actuellement dans une situation des plus injustes, car le seul fait de ne pas avoir remis un « TC » aujourd’hui aboli, entraîne une multitude de désavantages, aussi bien au niveau du temps de travail imposé qu’au niveau du traitement.

–        Le candidat reçoit un traitement qui est réduit de 30 points indiciaires, représentant environ 590 € brut par mois.

–        Le candidat ne peut être nommé à certains postes hiérarchiques comme ceux de directeur, de directeur adjoint, de chargé de direction, etc.

–        Alors que les carrières enseignantes prévoient deux avancements en traitement au cours de la carrière, le premier 3 ans après la nomination, le deuxième après 10 ans, ces avancements sont refusés aux candidats. Ce refus est en flagrante contradiction avec les explications données par le législateur, qui précise que pour le candidat sursitaire, le « traitement sera calculé de la même manière que s’il avait présenté son travail de candidature avec succès, moins un abattement de points négatifs […]. Cette contradiction a poussé le SEW/OGBL, il y a quelques mois, à entamer une action en justice pour défendre les intérêts des candidats dans ce contexte.

–        Comme, selon la législation, le bénéfice de coefficients est explicitement réservé aux seuls «professeurs, instituteurs, maîtres de cours spéciaux et maîtres d’enseignement technique» et donc pas aux candidats-professeurs, pour ces derniers, toutes les leçons d’enseignement valent 1.0 leçon de tâche, que ce soit un cours d’appui en 7e ou une leçon régulière en classe terminale devant 29 élèves. Suivant les classes enseignées, le préjudice subi au niveau de la tâche peut ainsi varier entre 2 et 4 leçons hebdomadaires. Selon le SEW/OGBL, cette situation est contraire au principe constitutionnel de l’égalité devant la loi, principe qui interdit le traitement différent de situations similaires, à moins que la différenciation ne soit objectivement justifiée. Or, comment justifier le non-octroi de coefficients aux candidats-professeurs, alors que d’autres enseignants-fonctionnaires en bénéficient, et cela sans jamais avoir réalisé un « TC » ?

–        Les mêmes réflexions s’appliquent aux décharges pour ancienneté. En règle générale, tous les agents de l’État profitent de certains allègements de tâche suivant leur ancienneté, sauf, encore une fois, les candidats-professeurs !

–        Dans la procédure de mutation, les candidats-professeurs sont d’office classés derrière tous les professeurs, leur ancienneté ne jouant qu’au sein du groupe des candidats postulant pour un même poste vacant.

–        Finalement, et même si pour la très grande majorité des candidats actuels la retraite ne constitue guère la première préoccupation, il n’en demeure pas moins que le manque à gagner d’aujourd’hui aura également des répercussions inéluctables sur la pension de retraite de demain.

L’argumentaire du MENJE et du MFP comme quoi les candidats-professeurs ont négligé une obligation professionnelle rémunérée moyennant décharge – la rédaction du « TC » – ne peut être nié. Il est toutefois évident pour le SEW/OGBL que le préjudice causé à l’État-employeur est rapidement compensé – et bien plus que cela – par l’effet cumulé des diverses sanctions exposées. Il n’est donc absolument pas normal de faire subir ces sanctions aux candidats-professeurs durant toute une carrière professionnelle.

Force est de constater que les deux ministères impliqués sont pleinement conscients des incongruités de la situation actuelle, mais la font perdurer en dépit des multiples sollicitations syndicales. Pour le SEW/OGBL, la situation actuelle est intenable et une régularisation des nombreux candidats sursitaires s’impose d’urgence. Outre l’introduction, il y a quelques mois, d’un recours devant le tribunal administratif contre le refus d’accorder les avancements en traitement aux candidats-professeurs, le SEW/OGBL se réserve le droit d’entamer d’autres actions en justice si le MENJE continue à faire traîner en longueur ce dossier.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 3 avril 2019

Réforme du stage dans l’enseignement secondaire

salle_de_classeLors de l’entrevue du Syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL avec le ministre Meisch et ses collaborateurs en date du 21 mars 2019, la proposition de réforme du stage de l’enseignement secondaire a été discutée. Tout en soutenant les efforts du MENJE à réformer ledit stage des enseignants, le SEW/OGBL reste sceptique quant à un certain nombre de propositions.

Master préparant à la fonction d’enseignant

Pour garantir la qualité de l’enseignement, le SEW/OGBL insiste sur l’importance d’un master dans la spécialité enseignée. Le MENJE insiste sur l’accès à la profession pour les détenteurs d’un bachelor dans une spécialité et d’un master préparant à la fonction d’enseignant. Le SEW/OGBL reçoit toutefois la garantie du MENJE que ledit master préparant à la fonction d’enseignant doit obligatoirement être relié à la spécialité enseignée selon le principe allemand du « … auf Lehramt ». Un bachelor dans une spécialité, combinée à un master exclusivement consacré aux sciences éducatives, ne serait pas, selon les propres dires du MENJE, reconnu par ce dernier.

Appréciation des performances professionnelles du stagiaire

L’appréciation des performances professionnelles du stagiaire par le seul directeur n’est pas acceptée par SEW/OGBL. Le SEW/OGBL insiste également sur le maintien d’une évaluation certificative des stagiaires quant à leurs performances professionnelles tout en étant d’accord que cette procédure d’évaluation soit allégée.

Le ministre Meisch indique avoir compris les réticences des syndicats sur ces sujets et se dit d’accord au maintien d’une évaluation certificative des performances professionnelles et ceci devant un jury dont feraient partie le directeur, un coordinateur de discipline et le(s) conseiller(s) pédagogique(s).

Nomination au poste de fonctionnaire de l’enseignement secondaire

Le SEW/OGBL n’accepte pas la position actuelle du MENJE qui prévoit que les détenteurs d’un master dans une spécialité soient nommés fonctionnaire une année plus tard que les détenteurs d’un master préparant à la fonction d’enseignant, le stage de ces derniers étant limité à une seule année.

Le SEW/OGBL propose d’avancer l’évaluation certificative des performances professionnelles de tous les stagiaires à la fin de la première (et unique) année de stage. En cas de réussite de cette dernière et des épreuves certificatives dans le domaine législatif, tous les stagiaires pourraient recevoir leur nomination en tant que fonctionnaire à la fin de cette première année.

S’en suivraient ensuite, pour les fonctionnaires détenteurs d’un bachelor dans la spécialité et d’un master préparant à la fonction d’enseignant, une période d’approfondissement limitée à une année et, pour les fonctionnaires détenteurs d’un master dans la spécialité enseignée, une période d’approfondissement prolongée sur deux années. Pendant cette période, les fonctionnaires continueraient à être accompagnés par leur(s) conseiller(s) pédagogique(s) et participeraient à des formations spécifiques, des regroupements entre pairs et des hospitations, sans toutefois des épreuves d’évaluation certificatives. Pendant cette période d’une, respectivement de deux années, les fonctionnaires bénéficieraient en outre d’une décharge d’enseignement hebdomadaire appropriée.

Le classement des futurs fonctionnaires et employés de l’enseignement secondaire

Dans tous les cas de figure, le SEW/OGBL demande à ce que des critères clairs et précis soient établis pour régler la future procédure d’affectation et de mutation des enseignants.

Par ailleurs, comme le paysage scolaire (lycées classiques, lycées généraux et professionnels, lycées européens, …) est de plus en plus diversifié, il est important, selon le SEW/OGBL, que l’enseignant-stagiaire/le fonctionnaire (employé) en période d’approfondissement soit préparé de manière à pouvoir exercer son métier dans n’importe quel lycée du pays et non pas seulement au lycée dans lequel il effectue ses périodes de stage et d’approfondissement. Un cantonnement dans un seul lycée nuirait à la qualité de la formation du stagiaire/fonctionnaire (employé) et à son aptitude à s’adapter à toutes les formes et régimes d’enseignement. En conséquence, le SEW/OGBL demande également à ce que la période de stage/d’approfondissement se déroule obligatoirement dans les deux ordres d’enseignement, avec un encadrement du stagiaire/fonctionnaire (employé) par un conseiller pédagogique dans chacun des deux.

Mesures transitoires

Quant aux mesures transitoires, le ministre Meisch affirme qu’au moment de l’entrée en vigueur de la réforme, les fonctionnaires et employés actuellement en stage ou cycle de formation de début de carrière bénéficieront des nouvelles dispositions de la loi modificative. Ceci concernera notamment les stagiaires actuellement en 2e année et qui réussiront cette dernière ainsi que stagiaires actuellement en 3e année et qui ne réussiront pas leur période probatoire.

Professeur-candidat

Le SEW/OGBL exige que, dans le cadre de ladite réforme du stage dans l’enseignement secondaire, le problème du professeur-candidat soit définitivement réglée et que la carrière des enseignants concernés soit enfin régularisée et revalorisée.

Le ministre Meisch assure au SEW/OGBL que la situation du professeur-candidat sera discutée avant la fin de l’année scolaire en cours et qu’une proposition sera élaborée par les services du MENJE.

Communiqué par le syndicat Education et Sciences (SEW) de l’OGBL
le 25 mars 2019

Forderungen des SEW/OGBL, der Studenten und der Praktikanten werden endlich erfüllt

Schon 2014 hat das OGBL-Syndikat Erziehung und Wissenschaft (SEW) vor den verhängnisvollen Auswirkungen des damals geplanten Stage gewarnt. Nichtsdestotrotz kam es zu einem Abkommen zwischen Ministerium und SNE, mit dessen Unterzeichnung der Stage in seiner jetzt bestehenden Form in die Praxis gutgeheißen und umgesetzt wurde.

Schnell erwiesen sich die Konsequenzen als schlimmer als ursprünglich vom SEW/OGBL befürchtet. Eigentlich sollten fertig ausgebildete Lehrer im Stage die Grundlagen zum Staatsbeamtentum erwerben, die Ausrichtung des Stage ignorierte jedoch komplett die Zielpopulation. Die Praktikanten, welche neben ihrer anspruchsvollen Tätigkeit im Lehramt, durch sinnlose Wiederholungen und überflüssigen Druck von Examina in Fächern, die sie zum überwiegenden Teil schon in der Grundausbildung bestanden hatten, waren flugs ausgelaugt, so dass sie kaum noch Freude und Motivation am Unterrichten entwickeln konnten und nicht wenige schon ans Aufgeben dachten. Somit wurde der Stage maßgeblich ausschlaggebend für den Verlust an Attraktivität des Lehrerberufs und trug damit zur direkten Förderung des Lehrermangels bei.

In mehreren größeren Kundgebungen hat das SEW/OGBL, zusammen mit den betroffenen Berufsanfängern und Studenten, auf diese Missstände hingewiesen und eine Reform der Ziele und Inhalte des Stage, sowie eine Abschaffung von überflüssigen Arbeiten sowie der Bewertung gefordert.

Für das SEW/OGBL war die Dauer des Stage nie ausschlaggebend. Oberstes Ziel ist es ein sinnvolles Praktikum zu schaffen, indem die angehenden Lehrerinnen und Lehrer beim Einstieg in diesen anspruchsvollen Beruf in einem Vertrauensverhältnis von erfahrenen Lehrern begleitet und vom IFEN unterstützt werden.

Anläßlich einer Zusammenkunft am 13. März mit dem Bildungsminister, haben die Vertreter der Grundschulen des SEW/OGBL mit großer Genugtuung feststellen können, dass der aktuelle Entwurf einer Anpassung des Stage allen langjährigen Forderungen des SEW/OGBL Rechnung getragen wird.

Ohne hier auf alle Einzelheiten eingehen zu können, darf man folgendes feststellen:

  • Die Dauer des eigentlichen Stage ist auf ein Jahr begrenzt.
  • Lediglich das Examen des Kurses über die Gesetzgebung muss bestanden werden.
  • Zusätzliche Kurse werden je nach persönlichem Bedarf ausgewählt.
  • Das Feedback bleibt formativ, d.h. es soll dem Praktikanten die Möglichkeit geben seine Praxis zu verbessern und seine eventuellen Schwächen auszubügeln, ohne dass er dadurch Gefahr läuft sein Praktikum nicht zu bestehen.

Besonders die Rolle des „Conseiller pédagogique“ wurde dahingehend neu definiert. In Zukunft soll dieser sich ausschließlich unterstützend und nicht mehr bewertend um die Praktikanten kümmern.

Das SEW/OGBL geht davon aus, dass sich nun viele erfahrenen Lehrer mit einer solche Rolle leichter identifizieren können und es möglich sein sollte, in den meisten Schulen ein „CP“ zu rekrutieren. Durch seine Kenntnis der lokalen Schulkultur kann er somit den Berufsanfänger viel wirkungsvoller unterstützen.

Das SEW/OGBL geht davon aus, dass der neue Gesetzestext vor Ende des Schuljahres die Zustimmung des Parlaments finden wird, da sich alle Parteien bei den kürzlich vom SEW/OGBL angeforderten Treffen in diese Richtung ausgesprochen haben.

Leider werden die neuen Bestimmungen den diplomierten Lehrerinnen und Lehrer, welche sich jetzt augenblicklich im Praktikum befinden, nicht von Vorteil sein. Trotzdem haben viele Praktikanten sich aufopferungsvoll um eine Verbesserung des Praktikums zusammen mit dem SEW/OGBL bemüht, obwohl ihnen durchaus bewusst war, dass sie sich im Grunde für kommende Lehrerinnen und Lehrer eingesetzt haben.

Aus verständlichen Gründen der Fairness gegenüber der gegenwärtigen Praktikanten hat sich das SEW/OGBL beim Unterrichtsminister stark gemacht, damit die neuen Bestimmungen, die frühestens nächstes Schuljahr umgesetzt werden können, schon jetzt im Praktikum respektiert werden sollen. An erster Stelle betrifft dieses Bewertungen aber auch die „Mémoire“-Arbeit, die in Zukunft sowieso entfallen soll.

 

Mitgeteilt vom OGBLSyndikat Erziehung und Wissenschaft (SEW)
am 15. März 2019