Nouvelle convention collective pour le groupe CFL cargo

Après plusieurs mois de négociations dans un contexte sanitaire et économique compliqué, la Direction du groupe CFL cargo et les syndicats FNCTTFEL-Landesverband, OGBL et LCGB ont signé une nouvelle convention collective.

Ce nouvel accord, conclu pour une durée de 3 ans, est applicable à partir du 1er juillet 2022 et couvre les salariés des sociétés CFL cargo S.A. et CFL technics S.A.

Les nouvelles dispositions portent aussi bien sur l’évolution d’un grand nombre de carrières ainsi que sur la fidélisation et la polyvalence de ses salariés.

La Direction et les partenaires sociaux se félicitent des négociations constructives menées ces derniers mois ainsi que des avancées sociales dont vont bénéficier les salariés.

Communiqué le 18 juillet 2022

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Première journée syndicale du nouveau syndicat Chemins de fer / FNCTTFEL-Landesverband de l’OGBL

Le 3 juillet 2022 a eu lieu, au Casino syndical de Bonnevoie, la première journée syndicale du nouveau syndicat Chemins de fer / FNCTTFEL-Landesverband de l’OGBL, lequel a été créé en 2020.

L’ordre du jour comportait, entre autres, l’élection d’un nouveau comité exécutif. Celui-ci se compose désormais de la façon suivante:

  • Georges Melchers (Président)
  • Patrick Vansteenkiste (Vice-président)
  • Gaby Birtz (Trésorière)
  • Josy Bourggraff (Secrétaire)
  • Dirk Lorig (Membre)
  • Jos Glesener (Membre)
  • Freddy Schockweiler (Membre)

Georges Merenz, président sortant du syndicat Chemins de fer / FNCTTFEL-Landesverband, reste président du FNCTTFEL-Landesverband et continuera également à assumer la fonction de vice-président de l’OGBL.

Les délégués se sont ensuite penchés sur la situation sociopolitique actuelle et sont parvenus aux conclusions suivantes.

La crise sanitaire, qui n’est toujours pas résolue, ainsi que la guerre en Ukraine, ont fait augmenter les inégalités et les injustices sociales. De plus en plus de personnes ont des difficultés à joindre les deux bouts à la fin du mois. Les aumônes distribuées par le gouvernement sous forme de crédits d’impôt sont loin d’être suffisantes. Elles ne remplacent pas une politique de revenus équitable et une bonne politique sociale. Il apparaît également que le crédit d’impôt énergie (CIE) n’est pas du tout social, puisqu’un ménage de deux personnes avec un revenu de 3 000 euros par mois reçoit un CIE de 168 euros (2×84 euros), alors qu’un ménage de deux personnes avec un revenu unique de 6 000 euros ne reçoit que 66 euros de compensation.

La «loi tripartite», adoptée à une large majorité le 15 juin 2022 par le Parlement, implique la suspension du mécanisme d’indexation et le report de la tranche d’indexation due début juillet 2022 à avril 2023.

La volonté de dialogue des syndicats a été détournée pour diviser les syndicats dans l’intérêt du patronat et pour entamer une nouvelle étape d’austérité. Face à cette situation, le mouvement syndical libre doit se demander dans quelle mesure les négociations tripartites peuvent encore servir les intérêts des travailleurs ou si des actions syndicales ne seraient pas plus efficaces.

D’autres revendications du syndicat Chemins de Fer / FNCTTFEL-Landesverband sont:

  • des revalorisations salariales dans les secteurs privé et public qui tiennent compte de l’évolution de l’économie et de la productivité;
  • une réforme fiscale qui allège la charge des petits et moyens revenus et supprime l’imposition socialement injuste des familles monoparentales, des personnes divorcées, veuves et âgées;
  • une imposition plus élevée des bénéfices des entreprises et des revenus du capital ainsi qu’un allègement des revenus provenant des salaires, des traitements et des pensions;
  • l’adaptation régulière du barème fiscal à l’évolution de l’inflation;
  • une augmentation structurelle du salaire minimum, du Revis et des pensions minimales;
  • des mesures appropriées pour lutter contre la crise du logement et pour rendre effectif le droit à un logement décent, pour tous;
  • la participation de l’OGBL aux prochaines négociations salariales pour les fonctionnaires et les agents publics.

Les revendications spécifiques aux chemins de fer du Syndicat Chemins de Fer / FNCTTFEL-Landesverband sont:

  • la mise en place par les CFL de mesures incitatives pour redonner de l’attractivité aux emplois auprès des CFL, en particulier pour tous les métiers en régime de travail posté;
  • le maintien de la ligne ferroviaire à voie unique entre Esch/Alzette et Audun-le-Tiche;
  • l’exploitation de la nouvelle ligne du tram rapide prévue entre Luxembourg et Belvaux par les CFL et non par un prestataire privé;
  • la mise à double voie progressive de la ligne nord sur le tronçon d’Ettelbruck à Troisvierges;
  • la modernisation de la ligne de Bissen à Ettelbruck afin de garantir à l’avenir un transport public de voyageurs sur cette ligne;
  • une réduction du nombre de transports de marchandises par la route à un minimum absolu et, en contrepartie, une augmentation des volumes transportés par le rail;
  • une accélération des travaux de modernisation du côté belge de la ligne ferroviaire Luxembourg-Bruxelles;
  • l’extension de la gratuité du transport public à toute la Grande Région afin de réduire le nombre de voyageurs individuels et diminuer l’empreinte carbone;
  • l’élaboration d’un modèle économique par les responsables des CFL en vue de la reprise des liaisons ferroviaires de nuit.

Communiqué par le syndicat Chemins de fer / FNCTTFEL-Landesverband de l’OGBL
le 10 juillet 2022

Kein Zurückweichen: Faire Arbeitsbedingungen im Transport sind ein Muss!

Vertreter des OGBL und der FNCTTFEL-Landesverband nehmen am 6. ordentlichen Kongress der ETF (European Transport Workers‘ Federation), der in Budapest vom 23. bis zum 27. Mai stattfindet, teil. Die Stimme der Arbeiter-Innen des Transportsektors muss gehört und die Rechte der Gewerkschaften müssen überall in Europa gestärkt werden, um die Herausforderungen der Zukunft sozial gerecht zu meistern.

Die COVID-19-Pandemie hat die Welt und insbesondere die Transportarbeiter-Innen erschüttert und sie einer intensiven physischen und psychischen Belastung ausgesetzt, um unseren Kontinent in Bewegung zu halten. Die Klimakrise dauert nicht nur an, sondern verschärft sich trotz aller Rhetorik, die wir seit 2017 gehört haben. Wir haben den anhaltenden Aufstieg des Rechtsextremismus auf unserem Kontinent miterlebt, wobei auch Angriffe auf einige Gewerkschaften abzielten.

Dieser Kongress ist Anlass, Bilanz zu ziehen über die Errungenschaften der europäischen Gewerkschaftsbewegung, welche konsequent das Ziel für einen fair Transport anstrebt und die Interessen der Arbeiter-Innen konsequent verteidigt. Internationale Gewerkschaften sind eine demokratische, integrative und vielfältige Bewegung. Der Kongress wird demnach auch genutzt, um die Einheit und Solidarität der Arbeiterbewegung in ihrer Mission zu demonstrieren, als Reaktion auf die großen globalen Trends und um menschenwürdige Arbeitsbedingungen für Transportarbeiter-Innen zu erreichen. Der OGBL und der Landesverband als aktive Mitglieder der ETF unterstützen die Kampagne der europäischen Gewerkschaftsföderation für ein faires und gerechtes Europa, in dem alle Arbeiter-Innen, Gruppen und Gemeinschaften mit Respekt und Würde behandelt werden.

Mitgeteilt von OGBL und FNCTTFEL-Landesverband
am 26. Mai 2022

CFL multimodal : renouvellement de la convention collective de travail

Après de longues négociations dans un contexte sanitaire et économique compliqué, l’OGBL, syndicat majoritaire dans le groupe, le LCGB et la direction du groupe CFL multimodal — comprenant les entités CFL multimodal, CFL logistics, CFL terminals, CFL site services et CFL intermodal — sont parvenus à un accord relatif au renouvellement de la convention collective de travail.

La nouvelle convention collective a été signée le 25 février 2022 et s’applique rétroactivement à partir du 1er janvier 2022, et ce pour une durée de 2 ans.

Au cours des négociations, les syndicats et la direction se sont mis d’accord, notamment sur les dispositions suivantes :

  • revalorisation et réorganisation des grilles de salaires en faveur des salariés
  • revalorisation des astreintes
  • prime de pénibilité pour les travaux de manutention en environnement à température négative (-20°)
  • introduction d’un chèque cadeau de 150€ nets en cas de naissance d’enfants, de mariage et au moment de la prise de retraite
  • deux jours de congés supplémentaires en lien avec l’ancienneté des salariés
  • revalorisation de la prime sécurité à 115€ nets par trimestre
  • revalorisation de la prime qualité à 125€ bruts mensuels
  • attribution d’un chèque cadeau annuel de 275€ nets à partir de décembre 2022 et d’un chèque-cadeau exceptionnel de 100€ nets à la signature de la nouvelle Convention Collective

Ces améliorations en ces temps de crise n’auraient pas été possible sans l’engagement continu des délégués de l’OGBL dans toutes les entités du groupe CFL mm.

La nouvelle convention collective sera distribuée, en allemand et en français, aux salariés du groupe.

Communiqué par l’OGBL
le 2 mars 2022

 

 

OGBL/LANDESVERBAND fordert vereinfachte Einstellungsprozeduren beim TICE

Die Arbeitsbedingungen der TICE-Busfahrer haben sich massiv verschlechtert und das Arbeitsklima ist momentan auf einem Tiefpunkt angekommen. Bedingt durch akuten Personalmangel werden die Fahrer an ihren freien Tagen regelmäßig zurückgerufen, um das Pensum an Fahrten ausführen zu können. Dadurch entsteht eine Situation in der die Mitarbeiter Schwierigkeiten haben ihre Ferientage in Anspruch nehmen zu können.

Ein Teufelskreis ist in den letzten Jahren entstanden. Durch die vielen Rückrufe und mangelnde Erholung sind die Fahrer erschöpft. Die Krankmeldungen steigen, welche wiederum mehr Rückrufe bedeuten, usw.  Außerdem stehen mehrjährige große Baustellen bevor, welche eine zusätzliche Belastung der Fahrpläne bedeuten und ebenfalls ein mehr von Berufsfahrer benötigen.

Dieser Teufelskreis kann nur durch die dringende Einstellung von schätzungsweise 40 bis 50 Berufsfahrer gestoppt werden!

Es gibt mehrere Gründe wieso die TICE-Verwaltung große Schwierigkeiten hat neues Personal einzustellen. Die „épreuve d’aptitude générale“ gilt als Eingangsexamen in den kommunalen Dienst und ist einer dieser Hürden. Dieses allgemeine Eignungsexamen stellt hinsichtlich der beruflichen Gegebenheiten des Busfahrers unangepasste Anforderungen. Ein Scheitern des Eignungsexamens bedeutet eine befristete Einstellung über maximal zwei Jahren und ein Ende der Berufsperspektive als kommunale Busfahrer.

Eine weitere Hürde ist das obligatorische Absolvieren der Berufskraftfahrerausbildung, die sich über 4 Wochen erstreckt. Diese könnte als Bestandteil des Praktikums als angehende Busfahrer nach einer Anstellung beim TICE erfolgen und nicht als Vorbedingung zur Einstellung.

Eine bisher von den Gewerkschaftsvertretern skeptisch gesehene Maßnahme verspricht in der jetzigen Situation eine Verbesserung der Arbeitsbedingungen. Neuanstellungen sollen nicht mehr als befristeter Arbeitsvertrag, sondern als „employé communal“ ausgeschrieben werden. Somit wäre das Problem prekärer Einstellungen beim TICE aus der Welt geschafft. Dies könnte ein wesentlicher Faktor sein, um die Bewerbungswelle beim TICE anzukurbeln.

Der OGBL/Landesverband pocht darauf, dass den Neuangestellten im Statut des „employé communal“ die Möglichkeit zum Wechseln ins Beamtenstatut garantiert wird, wenn sie die dafür nötigen Bedingungen erfüllen.

Der OGBL/Landesverband fordert daher auch, dass die Prüfungsantritte mindestens 4 Mal pro Jahr angeboten werden und nicht wie momentan lediglich 2 Mal im Jahr. Durch lange Wartezeiten zwischen den Antrittsmöglichkeiten zur Prüfung verlieren die Kollegen wertvolle Zeit, bis sie ins Beamtenstatut aufgenommen werden. Dies geht immer mit einem Lohnverlust einher.

Der OGBL/Landesverband fordert massive Neueinstellungen in den kommenden Monaten beim TICE, um die vorhandenen Busfahrer zu entlasten. Die Fahrer beim TICE haben Anrecht auf würdige Arbeitsbedingungen, auf ein gesundes Arbeitsklima, dies im Sinne des Schutzes ihrer Gesundheit, ihres Privatlebens und zum Schutz aller Verkehrsteilnehmer.

Mitgeteilt vom Syndikat Öffentliche Dienste OGBL/Landesverband
am 8. September 2021

Für Globalverhandlungen für den gesamten öffentlichen Sektor

Vor kurzem fand auf Schloss Senningen ein Austausch zwischen dem Minister des Öffentlichen Diensts, Marc Hansen und einer Delegation des OGBL mit Vertretern der vier im öffentlichen Sektor tätigen Berufssyndikaten des OGBL statt: Syndikat Öffentlicher Dienst OGBL/Landesverband, Syndikat Gesundheit und Sozialwesen, Syndikat Eisenbahnen FNCTTFEL-Landesverband, Syndikat Erziehung und Wissenschaft (SEW/OGBL).

Auslöser dieser grundsätzlichen Unterredung war die Tatsache, dass die OGBL-Syndikate des öffentlichen Sektors erst aus der Presse erfuhren, dass ein neues Gehälterabkommen für den Öffentlichen Dienst unterzeichnet wurde. Der OGBL wurde nicht einmal, wie sonst üblich, vorab informiert.

Der OGBL hat sich daraufhin schriftlich an den Minister für den öffentlichen Dienst, Marc Hansen, gewandt, um dagegen Einspruch zu erheben und die Einbeziehung des OGBL in alle geplanten Diskussionen und Arbeitsgruppen zu fordern. Er hat daran erinnert, dass das Nichteinbeziehen des OGBL/Landesverband umso erstaunlicher ist, als dass dieser seine Resultate bei den letzten Wahlen zur Kammer der Staatsbeamten und öffentlichen Angestellten ausbauen konnte und der OGBL mittlerweile Kooperationsvereinbarungen mit vier Vereinigungen aus dem öffentlichen Dienst abgeschlossen hat (ADESP, APPJ, GLCCA und APCCA).

Vor allem unterstrich der OGBL dass das Gehälterabkommen direkt oder indirekt Auswirkungen auf die Lohnbedingungen der Beschäftigten bei der CFL, der Arbeitnehmer im Gesundheits- und Pflegesektor, im sozioedukativen Bereich, bei den Gemeinden und beim Staat hat. Der OGBL ist in all diesen Bereichen die Mehrheitsgewerkschaft.

Zehntausende Arbeitnehmer dieser Sektoren sind also abhängig von Verhandlungen zwischen der alleinigen CGFP – die als Gewerkschaftsverband der Beamten und öffentlichen Angestellten gar nicht den Anspruch erhebt, die Interessen von Arbeitnehmern zu vertreten und werden vor vollendete Tatsachen gestellt, ohne dass ihre Gewerkschaft und ihre demokratisch gewählten Personalvertreter mit am Tisch sitzen.

Der OGBL hat dem Minister dargelegt, dass die Bestimmungen der Lohnabkommen im öffentlichen Dienst in der Vergangenheit zu Problemen bei der Umsetzung in den einzelnen davon abhängigen Sektoren geführt haben, die während der Verhandlungen nicht berücksichtigt worden waren – so z.B. bei der CFL, wo das Gehälterabkommen von 2015 zu einer Verschlechterung der Attraktivität verschiedener Karrieren geführt hat.

Es ist für den OGBL also nicht mehr hinnehmbar von diesen Verhandlungen grundsätzlich ausgeschlossen zu sein. Er hat dem Minister des Öffentlichen Diensts dementsprechend seine Vorstellungen für Globalverhandlungen für den gesamten öffentlichen Sektor dargelegt.

Die allgemeine Lohnentwicklung und wesentliche Rahmenbestimmungen würden in diesen Globalverhandlungen festgelegt, die dann in den einzelnen Lohnabkommen und Kollektivverträgen, unter Respekt der jeweiligen Mehrheitsverhältnisse, in Anbetracht der jeweiligen Spezifitäten des Sektors umgesetzt würden. Dieses Modell könnte weiter auch auf andere öffentliche Betriebe ausgedehnt werden, wo die Verbindung zur Lohnentwicklung nicht oder nicht mehr besteht – etwa auf die Universität, die öffentlichen Forschungszentren, das LNS, Luxtram und die Arbeitnehmer bei der Post.

Der Minister zeigte sich nicht offen für ein solches Modell, und verwies darauf, dass er durchaus nicht ausschließlich mit der CGFP verhandele, da er und andere Regierungsmitglieder ja sehr wohl mit Unterorganisation des OGBL oder mit dem OGBL assoziierten Vereinigungen Verhandlungen aufgenommen hätte – etwa bei der Polizei oder den Fluglotsen.

Außerdem hätten seiner Ansicht nach die vom OGBL geführten Kollektivverhandlungen auch Auswirkungen auf die Beamten – so sei er jedes Mal mit Reklamationen von unzufriedenen Beamten konfrontiert, wenn der OGBL Verbesserungen bei den Staatsarbeitnehmern verhandelt habe. Die CGFP müsse also im Gegenzug zu diesen Verhandlungen eingeladen werden.

Für die OGBL-Vertreter war dies ein unzulässiger Vergleich, da in all den genannten Sektoren eine direkte Abhängigkeit vom Lohnabkommen im Öffentlichen Dienst besteht. Der OGBL betonte, dass es ihm mit seinem Modell von Globalverhandlungen auch nicht darum ginge, die CGFP auszuschließen. Er erinnerte daran, dass er auch nie abgelehnt hat, dass die CGFP z.B. in der paritätischen ASFT-Kommission, die die Umsetzung des Lohnabkommens im SAS-Kollektivvertrag berechnet, vertreten hat und er lehnt auch nicht ab, dass diese Vertretung auch in Zukunft, in einem einheitlichen Kollektivvertrag für den Gesundheitssektor, beibehalten wird.

Da, nach Austausch der Argumente, der Minister weiterhin keine Bereitschaft zeigte, in diese Richtung zu gehen, wird der OGBL und seine Syndikate nun über weitere Schritte nachdenken, um seinen nicht mehr weiter hinnehmbaren Ausschluss von den Verhandlungen im Öffentlichen Dienst anzufechten.

Neben dem Austausch über die Teilnahme bei den Verhandlungen im öffentlichen Dienst unterbreitete der OGBL dem Minister auch seine Überlegungen zu verschiedenen aktuellen Themen, die den öffentlichen Dienst betreffen, darunter insbesondere:

  • die Privatisierungstendenzen im öffentlichen Sektor;
  • das Bewertungssystem, das jetzt kritisch überprüft werden soll und das der OGBL von Anfang an abgelehnt hat;
  • die Ausarbeitung einer neuen großherzoglichen Verordnung zur Telearbeit im Öffentlichen Dienst;
  • die Besteuerung der Telearbeit bei Beamten, Angestellten und Arbeitnehmern im öffentlichen Bereich, die jenseits der Grenze wohnen;
  • die Bekämpfung von Mobbing am Arbeitsplatz;
  • Benachteiligungen von öffentlichen Angestellten bei befristeten Verträgen und beim Schutz vor Entlassung bei Langzeitkrankheiten.

Der OGBL wird zu einzelnen Punkten dem Minister schriftliche Vorschläge zukommen lassen. Trotz der unterschiedlichen Haltung zur Teilnahme an den Gehälterverhandlungen laufen die Diskussionen also weiter.

Mitgeteilt vom OGBL,
am 13. Juli 2021