«Notre syndicat a beaucoup changé au cours de ces 100 ans. Aussi bien l’ossature, que le fonctionnement de notre organisation se sont continuellement transformés. Les diverses structures, les divers comités, la hiérarchie, l’articulation et la collaboration entre ces derniers, mais aussi leur poids dans les processus décisionnels internes, sans oublier le financement de l’activité syndicale, ont toujours à nouveau fait l’objet de transformations et de réformes. Si cela en avait été autrement, si ces discussions, ces décisions et ces réformes n’avaient pas eu lieu, le mouvement syndical libre n’existerait plus au Luxembourg.»
«Un syndicat qui ne veut pas perdre de sa puissance et de son influence, un syndicat qui veut continuer à se développer, doit toujours continuer à adapter sa structure et son fonctionnement. Il doit toujours à nouveau se regarder dans le miroir.»
«Une organisation qui ne le peut plus ou qui ne le veut plus, une organisation qui loupe le bon moment pour le changement est condamnée sur la durée. Elle perd progressivement en force et en puissance et elle ne rayonne plus avec la même attractivité, dont elle a besoin pour maintenir son influence et pour continuer à exister à long terme dans une société qui ne cesse de se transformer.»
«C’est une force historique de l’OGBL et des organisations qui l’ont précédé, des syndicalistes bénévoles et professionnels, d’hier et d’aujourd’hui, d’avoir toujours les yeux grands ouverts, les oreilles dressées, pour identifier à temps les fissures et entreprendre les réparations nécessaires. C’est ça le changement dans la continuité.»
«Le changement dans la continuité, c’est un processus d’analyse constante, de diagnostic adéquat, de discussion démocratique interne, de notre volonté, de notre intelligence, de notre expérience et de notre motivation communes, de notre vieille âme en tant que syndicaliste, mis au service de la lutte pour la cause commune de nos membres et de l’ensemble du salariat ici au Luxembourg.»
«Si nous voulons continuer à cultiver cette exigence consistant à vouloir représenter l’ensemble du salariat, alors notre syndicat doit être en mesure de défendre efficacement ses intérêts.»
«Quelque chose me tient encore à cœur. Lorsque nous discutons de nos propres structures, il ne faut jamais oublier que nous discutons en même temps de tous les syndicalistes actifs, qui constituent depuis des années, oui, des dizaines d’années, le moteur de nos structures. Sans eux, sans leur engagement, sans leur motivation et sans leur collaboration, aucune structure ne peut fonctionner, qu’il s’agisse de section locale, de syndicat ou de département. L’engagement bénévole du syndicaliste pour son syndicat est la chose la plus précieuse que possède l’OGBL.
«Nous voulons évidemment qu’encore davantage de gens et que de nouvelles personnes s’engagent pour l’OGBL. Mais nous voulons avant tout que personne, pas un seul de ceux qui sont actifs parmi les syndicalistes, peu importe de quelle génération de syndicaliste il est issue, ne quitte notre bateau commun.»
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